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30/01/2011

Pensées dominicales...

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Ah, voilà un homme heureux !!! C’est ce que l’on me dit souvent.

 

Il est vrai que j’ai  plus la mine souriante que le visage fermé lorsque je suis en société ou alors c’est parce que je veux que çà se sache.

 

La plupart des gens pensent que je n’ai pas de soucis, que parce que je souris et que mes yeux pétillent que je n’ai pas ou peu de problèmes, et pourtant…

Pourtant, je suis comme tout le monde, j’ai mon lot de problèmes, mon tombereau d’emmerdements.

Qu’ils soient familiaux, financiers, professionnels ou existentiels, les ennuis ne m’épargnent pas, j’ai toujours été, je suis et je resterai probablement toujours un garçon anxieux, même si avec l’âge je me suis un peu calmé.

 

C’est vrai que parfois je passe par des états d’une grande détresse, d’une grande panique ou d’une grande anxiété.

Boucler la fin de mois sans encombres, réussir mes objectifs au boulot, me réveiller au milieu de la nuit et penser à la maladie, à la mort, à la vie qui défile à la vitesse de l’éclair.

Rien n’est facile dans cette chienne de vie mais je l’aime et j’essaie de la vivre le plus intensément possible et de profiter des moments de bonheur qu’elle m’offre. C’est certainement la raison pour laquelle je suis souvent jovial, souriant, d’agréable compagnie car après tout, on a chacun son lot de problèmes et il fait du bien parfois de les laisser à la porte quand on rentre quelque part, ne serait ce que quelques minute, sinon on deviendrait vite dingue.

 

Heureusement pour moi, j’ai retrouvé depuis bientôt deux ans la passion de l’écriture et Dieu sait que c’est une thérapie curative et bienfaisante pour la paix de l’esprit. Ca ne guérit pas tout mais çà apaise souvent les maux et çà aide à ne pas se laisser entraîner dans la facilité du train-train quotidien et de l’abandon de soi.

La lecture c’est l’évasion, l’écriture une thérapie et tant que j’aurai mes deux yeux, mes mains et toute ma tête, je ne cesserai jamais de goûter à ces nourritures de l’esprit.

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