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03/05/2011

"Revue" (et rien à corriger...)

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Mon ami Christophe et moi étions au parfum depuis un petit moment déjà, mais nous avions juré de garder le secret, c’est normal. Il n’empêche qu’on l’a attendu ce nouvel  album (EP ou LP on s’en fout, puisque la différence ne tient qu’au nombre de titres) et qu’on est ravi de l’entendre.

En ce qui me concerne il est déjà sur CD et je l’ai déjà écouté au moins vingt fois depuis ce matin dans la voiture.

Le titre a été judicieusement choisi car il correspond parfaitement à l’idée de ce disque (Une revue est une pièce de théâtre dans laquelle on passe en revue les évènements de l’année) et on prend plaisir ici à écouter les versions studio de morceaux entendus sur scène depuis plusieurs mois.

La photo est très bien aussi, ce côté « Sur la route » qui correspond bien aussi à ce concept de scène et qui colle bien à l’image de Valentine.

Mais parlons maintenant musique et des 7 titres qui composent ce « Extended play » :

 

-La revue s’ouvre sur la célèbre chanson de Marylin « The river of no return » et ce duo de voix avec Jean-Cri qui nous ravit à chaque concert. C’est aussi une chanson chère au coeur de notre artiste favorite qui avait déjà chanté il y a quelques années cette « Rivière sans retour » sur « la charmeuse de serpents »

 

-La reprise ici de « Mon vieux » en surprendra plus d’un mais le projet remonte à loin, c’était fin 2009 et Valentine, à l’époque m’avait mis au défi de trouver le titre qu’elle allait enregistrer et j’avais trouvé. Je me souviens très bien de cette chanson de ferrat enregistrée par Daniel Guichard, j’étais tout jeune et elle m’avait marqué. Trente cinq ans après, j’ai toujours les yeux qui piquent et ui se mouillent quand je l’écoute, en particulier ici.

 

-Cette version de « A la fenêtre » nous transporte dans les sixties avec ce son très McCartney/Lennon, les sonorités à la « Strawberry fields » et une version pleine de surprises musicalement parlant. Des chœurs extra, du mellotron et de la mandoline (multi instrumentaliste le Jean-Cri!)

 

-Alors là, sur « J’aime…je déteste », j’adore l’intro qui elle me rappelle le King Crimson de l’époque Peter Sinfield et ces sonorités très « progressives » que j’adore tout particulièrement. Sinon, cette très belle chanson d’amour est un savant mélange de guitare acoustique et électrique et nous amène en douceur à la transition du superbe morceau qui suit.

 

-Voila une des plus belles chansons de Mister Macca reprise déjà depuis un moment par Valentine et JC sur scène avec brio. On ne se lasse pas de l’écouter et même s’il n’y a pas de sax (clin d’œil pour Valentine) cette version est très belle. Pas d’autre mot que j’adore.

 

-Ah « Peggy Sue » de Buddy Holly, c’est qu’il en a influencé des gens ce garçon à l’allure si timide et trop tôt disparu, ce n’est pas pour rien que McCartney a racheté les droits d’auteur…bref, une facette de valentine la rockeuse, car elle aime çà et sur ce morceau elle s’en donne à cœur joie. Le son « arrangé » sur la voix, donne cette impression de morceau des 50’s et c’est super, çà c’est du rock comme j’aime.

 

-On termine par une version de « Tout ce qui nous sépare » un des grands tubes de la miss, revu (ben oui) et corrigé dans une ambiance plus calme, plus mature, que du bonheur. Plus brute, moins arrangée cette version donne une nouvelle jeunesse à cette très belle chanson.

 

Les fans se régaleront, car la voix de Valentine est toujours aussi belle et pure et qu’elle a gardé toute sa fraîcheur. On sent nettement la « patte » de maître Urbain dans l’orchestration des morceaux ainsi que dans l’instrumentation. Ce garçon est un virtuose et çà se sent, percussions, basse, guitare, mandoline et mellotron, il joue de tout cet homme orchestre. Ah oui, le mellotron, j’adore çà, cet instrument apparu dans les 70’s avec l’arrivée du rock progressif donne un super  relief à certaines chansons.

 

En tant que fan, je me réjouis d’entendre ces versions revisitées en studio, c’est un régal. En tant que (modeste) musicien, je savoure le travail de précision qui se ressent de façon flagrante, tout est précis, méticuleusement et savamment orchestré. En tant que fou de musique, je me réjouis d’accueillir cette petite perle dans ma collection personnelle.

Cela donne déjà une idée de ce que va être le prochain opus d’une chanteuse qui n’a pas finit de nous charmer. A Lys Lez Lannoy, j’avais eu cette chance d’en découvrir un petit bout, je ne peux que vous dire une chose, çà promet !!!

 

17:55 Publié dans Jil Caplan | Lien permanent | Commentaires (2)

Commentaires

bonjour Christophe,

à bientôt à Liévin, vas tu à la répétition

amicalement

ANNE

Écrit par : ANNE | 12/05/2011

J'attends la confirmation de Valentine avant car chaque fois je lui demande son accord.
Si c'est OK oui, j'y serai.
Bien amicalement,
Ch.

Écrit par : Christophe | 12/05/2011

Les commentaires sont fermés.