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29/04/2010

"Camping 2" de Fabien Onteniente

Camping_2_300.jpgJe le dis sans honte, et chacun ses goûts, j'aime parfois cesser de réfléchir, de trop me casser la tête et me détendre avec une bonne comédie bien franchouillarde.

Ce fut particulièrement le cas hier soir. Excessivement stressé depuis quelques jours, fatigué, très tendu, agressif, j'avais besoin de décompresser et le fait de sortir hier soir avec mon épouse pour aller voir ce film m'a fait du bien.

Oh bien sur, lorsque l'on va voir ce genre de film, il ne faut pas s'attendre à voir un film qui fera date dans l'histoire du cinéma ou qui rentrera dans la catégorie des films d'arts mais il est distrayant et il fait rire.

Le bonheur avec le cinéma, c'est qu'il permet d'aborder des genres complètement différents, du drame au film d'action, du cinéma de réflexiion à celui de la franche rigolade et c'est là tout le charme du 7éme art.

C'est vrai, j'avais vu le premier "Camping" qui m'avait fait rire et j'avais un peu peur du "réchauffé". Certes les ficelles du premier film ont été reprises en partie mais on a plaisir à revoir cette brochette de truculents personnages bien typiques et représentatifs de ce que peut être une partie de la population de notre pays. Franck Dubosc campe à nouveau un Patrick Chirac, naïf, collant, bebête mais attachant et dtôle et ça lui va bien, Claude Brasseur ronchonne à nouveau comme il se doit dans le rôle de Jacky Picq, accompagné de "Maman" (Mylène Demongeot) . Et puis il y a bien sûr le super couple Mathilde Seigner/Antoine Duléry dont les rapports sont plus que mouvementés. Le petit nouveau c'est Richard Anconina le stressé et maniaque Jean-Pierre.

En conclusion, ce film n'est pas une révolution, ni un évènement cinématographique sans précédent, il ne récoltera pas des centaines de récompenses (le genre est de toute façon systématiquement boudé par la profession) mais il a le mérite de remplir correctement son rôle, sans tomber dans le vulgaire et l'humour à deux balles. En ce qui me concerne, il m'a fait rire et je suis sorti de la salle du ciné, bien moins tendu que je ne l'étais deux heures auparavant.

05:21 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (0)

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