16/02/2011
JJ CALE "#8"
1983, le document attestant que je suis titulaire du BTS est encore tout frais dans ma poche. je fais mes tous premiers pas dans la vie professionnelle. J'ai 19 ans, je ne connais encore rien de la vie et je ne sais pas encore ce qui m'attend. C'est à Lille où je vis alors que la première station de métro est mise en place, dans la ville du premier ministre d'alors, Pierre Mauroy. Louis de Funès nous quitte,Ppapon est in culpé et Barbie extradé...
A cette époque, je vis dans une petite piaule, louée dans une maison à La Madeleine, un lit, un réchaud à gaz, une table et deux chaises, un lecteur de K7 audio sont mon seul mobilier. Sur mon lecteur j'écoute alors une K7 que j'ai achetée parce que la pochette me plaisait. Il s'agissait du 8ème album de JJ Cale appelé "#8", le contenu m'a immédiatement plu et j'ai ensuite acheté une compilation de ce grand du blues (Cocaine, After midnight, Call me the Breeze, Magnolia, Don't cry sister, Crazy mama...).
Quelques mois plus tard, avec mes premiers deniers mis de côté, j'ai acheté une platine TD, un ampli et deux enceintes (je les ai toujours). Parmi les premiers vinyls que j'ai acheté il y a la majorité des albums de mister JJ et même si je les aime tous, j'ai toujours eu un petit faible pour cet opus n°8 avec ses Money talks, Losers, People lie, Trouble in the city etc..., la nostalgie de mes 20 ans sans doute.
06:09 Publié dans Musique | Lien permanent | Commentaires (0)
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