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26/02/2011

Marche arrière...

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Juste pour quelques heures,

Redevenir un enfant,

Oublier ses soucis d’adultes,

Voir la vie avec des yeux candides.

Se satisfaire de petites choses,

Jouer avec des cailloux, s’écorcher les genoux.

Courir dans les rues, comme un fou,

Avoir longtemps le feu aux joues.

Etre amoureux une fois, dix fois, cent fois,

Des filles les plus belles de l’univers.

Retourner sur les bancs de l’école,

L’odeur de la craie, du tableau noir,

Celle de l’encre, du plumier, des crayons, des cahiers.

Les cris dans la cour de récréation,

Les jeux simples, sans écrans ni consoles.

S’inventer des histoires, des mondes imaginaires,

Etre un prince, un guerrier, immortel et si fier.

Rêver d’aventures, de croisières ou d’odyssées.

Etre un pirate, un boucanier, un flibustier.

Un chef indien, un prince des mille et une nuits.

Un héros courageux qui sauve le monde.

Revoir la vie de façon simple et pure,

Revivre ces instants magiques derrière nous pour toujours.

Oui, simplement et juste pour un instant,

Redevenir un gamin, un mioche, un enfant.

 

 

19/02/2011

Le bluesman de Dartford

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Qui a dit que Keith Richards n’était pas un bluesman ? Cette musique lui doit beaucoup tellement il lui y a apporté. A ce titre il a largement sa place parmi les plus grands. Quant à ceux qui disent que son livre n’est pas intéressant, c’est qu’ils n’ont rien compris à l’esprit du blues et du rock. Ce mec est l’essence même des Stones, le pilier de près de 50 années de carrière et son histoire est digne du scénario d’un super film.

Il est ce qu'il est avec ses défauts mais aussi sa tonne de qualité, sa force de caractère peu commune dans ce milieu et une passion immodérée pour ce qu'il fait depuis si longtemps. A ce titre, il mérite le respect et je le remercie d'avoir écrit ce pavé qui est un véritable régal à chaque page.

Si vous n’aimez pas Keith, retournez écouter de la soupe, vous n’êtes pas digne de faire partie des puristes, les autres restez pour savourer ce petit « Cocaine blues »…sacré Keef !!!

 

http://www.youtube.com/watch?v=SutO9tW9k9g

15:30 Publié dans Musique | Lien permanent | Commentaires (0)

17/02/2011

Ils ont tué l'oiseau bleu sur sa branche !!!

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La chanteuse Jil Caplan vient d’être purement et simplement déconnectée de Facebook et son profil a été supprimé. Ce midi, elle a publiée une photo d’un tableau sur lequel est représenté un sexe masculin. Elle l’a volontairement fait suite à l’éviction d’une autre personne qui avait publié ce même tableau.

Dix années se sont écoulées depuis que nous sommes passés au 20ème siècle et rien ne change. Au contraire, c’est pire, la censure est toujours là, omniprésente et brutale et le puritanisme américain au lieu de régresser prend des allures de guerre de religion, il n’y a qu’à écouter les propos effarants et effrayants d’une Sarah Palin pour s’en rendre compte.

Je conçois volontiers que cela puisse heurter des personnes un peu prudes mais bon sang, à une époque où la violence s’étale partout, que nos enfants en sont imprégnés, que ce soit dans les jeux, le cinéma, les livres ou la musique, on peut se poser des questions sur une telle réaction face à la publication d’une photo représentant juste un appareil de reproduction masculin.

C’est curieux, on n’hésite pas à utiliser les charmes de  la femme comme objet publicitaire, et force est de le reconnaître de façon plus qu’osée parfois, mais on est choqué dès lors où l’on publie un tableau représentant le sexe d’un homme.

Jil Caplan a eu le courage de ses opinions et elle savait qu’elle risquait de se faire sabrer. Je dis bravo, voilà ce que j’appelle aller au bout de ses idées.

Je n’ose imaginer ce que Big Brother lui aurait fait si elle avait publié quelque chose de plus « hard ».

Qui connaît comme moi et comme d’autres Jil Caplan, sait que c’est une femme cultivée, d’une gentillesse à toute épreuve et dotée d’un caractère affirmé (la preuve). Mais s’il y a une femme pour qui l’amour, la tendresse, l’amitié ou la douceur représentent des valeurs inestimables, c’est bien elle, ses textes et ses chansons sont là pour le prouver.

Alors moi, je me lève et les bras au dessus de la tête j’applaudis à deux mains le courage qu’elle a de ses opinions et vous invite à faire de même.

Je vais mettre en photo de profil Facebook celle que vous découvrez ci-contre en guise de protestation et vous propose de faire de même si vous êtes d’accord. Je ne vous oblige en rien à le faire, le respect des autres et de leur liberté restant un principe fondamental pour moi.

18:59 Publié dans Jil Caplan | Lien permanent | Commentaires (1)

16/02/2011

JJ CALE "#8"

JJ.jpg1983, le document attestant que je suis titulaire du BTS est encore tout frais dans ma poche. je fais mes tous premiers pas dans la vie professionnelle. J'ai 19 ans, je ne connais encore rien de la vie et je ne sais pas encore ce qui m'attend. C'est à Lille où je vis alors que la première station de métro est mise en place, dans la ville du premier ministre d'alors, Pierre Mauroy. Louis de Funès nous quitte,Ppapon est in culpé et Barbie extradé...

A cette époque, je vis dans une petite piaule, louée dans une maison à La Madeleine, un lit, un réchaud à gaz, une table et deux chaises, un lecteur de K7 audio sont mon seul mobilier. Sur mon lecteur j'écoute alors une K7 que j'ai achetée parce que la pochette me plaisait. Il s'agissait du 8ème album de JJ Cale appelé "#8", le contenu m'a immédiatement plu et j'ai ensuite acheté une compilation de ce grand du blues (Cocaine, After midnight, Call me the Breeze, Magnolia, Don't cry sister, Crazy mama...).

Quelques mois plus tard, avec mes premiers deniers mis de côté, j'ai acheté une platine TD, un ampli et deux enceintes (je les ai toujours). Parmi les premiers vinyls que j'ai acheté il y a la majorité des albums de mister JJ et même si je les aime tous, j'ai toujours eu un petit faible pour cet opus n°8 avec ses Money talks, Losers, People lie, Trouble in the city etc..., la nostalgie de mes 20 ans sans doute.

06:09 Publié dans Musique | Lien permanent | Commentaires (0)

15/02/2011

Sunday morning...

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Dimanche dernier, c’était la fête de mon épouse Béatrice. Mon dos m’ayant encore bien titillé dans la nuit, je me suis levé (comme d’habitude) de très bonne heure. J’ai ouvert les volets et j’ai bricolé sur l’ordi en regardant le jour se lever. J’adore çà, j’ai l’impression d’être seul au monde et je suis en paix et en totale harmonie avec moi-même.

Je suis allé prendre ma douche pour ensuite m’habiller, me chausser et mettre mon manteau pour sortir, l’idée étant d’aller chercher des croissants pour le ptit déj et un bouquet de fleurs pour ma femme.

Je marchais seul dans la rue, pas une voiture ne passait, l’air était très frais, limite froid et je sentais cette fraîcheur sur mon visage. J’étais bien, je me sentais vivant, c’est étrange comme sensation. Les devantures des magasins me semblaient belles alors que je les connais presque par coeur, j’avais cette sensation bizarre de ressentir tout ce qu’il y avait autour de moi. Un moment de plénitude et de bien être comme je les aime.

C’est assez difficile à expliquer et j’espère que vous m’aurez compris. Il est des moments comme çà dans l’existence, des instants brefs mais si précieux où l’on se sent fort, presque invincible, ou un flot de plaisir vous traverse sans que cela s’explique particulièrement.

 

Encore en train de râler ?

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Avant de me mettre au boulot, juste quelques mots sur la fête des amoureux. J’aime cette journée parce que c’est la fête d’une amie qui a un bien joli et doux prénom. Il y a juste un truc qui m’agace c’est le côté commercial de cette fête : opération tiroir caisse qui comme la plupart des fêtes inventées par les commerçants, jouent sur les sentiments.

Je suis allé déjeuner ce midi dans la galerie d’une grande surface et j’ai vu la ruée sur les bijouteries, les fleuristes et tous les magasins qui en profitent pour faire un stand de la St Valentin (les bonbons de l’amour, les gants de toilette de l’amour, les draps de l’amour, les CD et DVD qui parlent d’amour et même des livres sur l’amour au lit, autrement dit de sexe).

 

Et puis, cette année, je trouve qu’un accent tout particulier a été mis à grand renfort de publicité sur cette fête. Y aurait-il des stocks d’invendus de Noël à écouler ???

 

Franchement y a-t-il besoin d’une journée en particulier pour fêter celle ou celui qu’on aime, je réponds NON !!!

L’amour est un sentiment très fort qui connaît des hauts et des bas, des orages et des éclaircies mais qui se vit tout au long de la vie amoureuse. L’être aimé se chérit tout au long des jours, des années, de la vie.

 

Demain on va pondre quoi pour faire du fric ? Quelles fêtes va-t-on encore inventer pour grossir le chiffre d’affaire ?

Et nous, quand va-t-on cesser de se laisser berner et entraîner dans ces opérations dont le seul but est d’alléger le porte-monnaie des gens ?

 

J’aime ma femme, j’aime mes enfants, j’aime mes amies et mes amis mais je n’ai pas besoin d’une journée pour le leur dire, je le fais quand j’ai envie et quand mon cœur déborde. Je n’ai pas besoin que l’on me tienne par la main et que l’on m’impose d’aimer juste pour un jour.

Certains me prendront peut être pour un rabat-joie, un ronchon, un mec jamais content, c’est possible. Ce que je pense je le dis et si çà fait de moi un non-conformiste tant mieux !!!

 

 

 

 

 

14/02/2011

Jil Caplan: l'interview de Valentine's day

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Voilà plusieurs semaines que je songeais à solliciter Valentine pour une nouvelle interview. A vrai dire j’y a vais pensé pour le début de l’année mais je n’ai pas eu le temps de m’y atteler. C’est la semaine dernière alors que notre artiste de talent proposait sur son site ses nouveaux T-Shirt que j’ai eu l’idée de lui suggérer l’idée pour la saint Valentin(e).

L’amour est souvent présent dans les chansons de Jil CAPLAN. Heureux, malheureux, joyeux, ou triste, il suscite tellement de sentiments, de tourments, de plaisir ou de douleur, qu’une seule journée ne suffit pas pour en parler. L’amour se vit chaque jour de notre vie et se partage sans cesse.

Mais place à l’artiste, la vraie, l’entière….

-Ch : Bonjour Valentine, même si la fête du 14 février, on le sait bien, a un gros caractère commercial, dans le monde actuel, la notion d’amour revêt un caractère particulier. Tu proposes depuis plusieurs années à tes fans, de très beaux textes dans lesquels l’amour avec un grand A trouve très souvent place.

En quelques mots, que représente pour toi l’amour ?

-Valentine: Comme disaient les Beatles, "love is all you need "! C’est un mot générique qui abrite la tendresse, l'affection, l'amitié. C'est le fondement de notre vie et notre place dans le monde. Sans amour, l'existence est beaucoup plus laide et cynique, s'il y a tellement de violence et haine, c'est souvent que les gens en manque beaucoup.

-Ch : Parlons un peu musique. On vient de découvrir deux titres co-enregistrés avec ton ami Phil Pace sur son deuxième album, çà fait du bien de te réentendre après ta participation au projet Brassens de Vitor. Quelques mots sur cet album, sur Phil et ces deux chansons ?

-Valentine : Phil a enregistré sur un petit label son 2eme album et m'a naturellement demandé d'y participer. J'aime beaucoup la spontanéité qui se dégage de ce disque, enregistré en 15 heures ! Il me rappelle une façon de faire de la musique avant le déluge .... Une façon simple et directe, sans fard et avec jubilation.

 

-Ch : En ce qui concerne Jil Caplan, on sait que depuis que le MAP, votre tout nouveau studio aménagé de vos mains du sol au plafond, est opérationnel et que JeanCri et toi y êtes très actifs. Les fans sont impatients de savoir ce qui se prépare, « Derrière la porte » date de 2007, on a tous envie de découvrir des nouvelles chansons et surtout un bel album, que peux tu nous en dire ?

 -Valentine : C'est un album sous nos deux noms, avec un son très chaud, très organique. On essaye comme toujours de se renouveler et d'apprendre des choses, de garder une certaine pureté de ton. Ce sera un album généreux, en arrangements, en chœurs, en guitare....

-Ch : A propos des fans, le « JOCFCB » a maintenant quelques mois derrière lui et continue son petit bonhomme de chemin. Qu’en penses tu ? Y viens tu régulièrement ? Accepterais tu de répondre aux questions qu’y poseraient les fans par exemple ?

-Valentine : J’y passe parfois quand on m'envoie un truc publié dessus, et ça me fait toujours très plaisir d'avoir un retour si positif sur mon travail. Mais je pense qu'un chanteur doit rester autonome, et ne pas se laisser trop valoriser par ses fans... il ne faut pas se laisser aller en général, à trop de valorisation de son travail. On peut vite se reposer sur ses lauriers ! Comme dit le Dalaï Lama, il faut garder l'esprit du débutant. D'autant que rien n'est jamais acquis avec un public. Le meilleur moment souvent, c’est en concert, lorsque l'on sait que les applaudissements viennent pour couronner un moment à part, où l'on a essayé de donner quelque chose, de partager des émotions. Après, je suis toujours un peu surprise de constater ce que l'image extérieure peut susciter comme passion ; c'est paradoxal car moi-même je suis très "fan", très entière avec les artistes que j'aime.

-Ch : A propos de questions de fans, lorsque mon frangin, chauffeur routier de son état m’a parlé de ton interview pour le magazine « Routiers », j’en ai parlé sur le groupe. Les fans se demandent comment tu es arrivée à t’exprimer dans un magazine aussi spécialisé ?

-Valentine : Hé bien c'est très simple : un journaliste qui travaille dans ce journal apprécie mes disques, et a souhaiter me rencontrer pour une entrevue. Et je n'ai pas vu de contre-indication à répondre à ses questions, bien que le monde des chauffeurs routiers soit un mystère pour moi !

-Ch : Tu réalises pas mal de clips et de reportages pour des chanteurs ; aurais tu envie un jour de réaliser un court ou un long-métrage ?

-Valentine : Honnêtement non, parce que je suis incapable d'écrire un scénario de film, et puis c'est vraiment un travail différent que de réaliser des clips.

Ce format court me convient très bien et puis diriger des acteurs, hum, je crois que je ne saurais pas le faire....

-Ch : On connaît toutes et tous ta grande passion pour la lecture. Quels sont tes livres de chevet en ce moment ?

 -Valentine : La bio de Keith Richards ! Je lis cette bio avec délectation. Juste avant, je venais de finir "Just Kids" de Patti Smith, qui raconte ses débuts dans le NYC des seventies, et de sa vie avec le photographe Mapplethorpe que j'adore. J'ai lu aussi beaucoup Jim Harrisson ("Dalva", sublime) il m'a donné envie de vivre dans un ranch avec des chiens et des chevaux. Je garde ça pour plus tard....

-Ch : Et sur ta platine, quels sont les albums qui tournent le plus ces derniers temps ?

 "Promises" de Springsteen. J'écoute aussi l'album jazz de Melody Gardot (j'adore sa voix), des compilations de mes morceaux préférés que je fais pour les vacances ou le commencement d'une nouvelle saison. Et de la musique classique, qui me nettoie les oreilles mieux que tout !

-Ch : Justement, à propos de musique et de livres, si tu devais choisir une chanson et un livre, un texte ou un poème illustrant le mieux l’amour quels seraient tes choix (je sais c’est très Cornélien) ?

-Valentine : Ce serait les poèmes d'Aragon pour ELsa. Je les lis depuis mes 15 ans...J'aime aussi beaucoup "Love in song" des Wings, magnifique chanson mais si triste !

Un très grand merci à Valentine pour sa disponibilité et sa gentillesse. C’est toujours plus facile de poser des questions lorsqu’on a en face de soi quelqu’un de cultivé et d’intelligent. C’est aussi un véritable plaisir pour l’amateur que je suis.

Bonne fête !!!

 

00:05 Publié dans Jil Caplan | Lien permanent | Commentaires (1)

10/02/2011

Malou, Perlin et Pinpin

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C’est curieux comme certains souvenirs restent ancrés dans la mémoire surtout quand ils sont si lointains. Ce qui est marrant c’est que l’on oublie parfois des choses qui se sont produites une semaine ou deux auparavant alors que certaines autres sont ancrées tellement fort que l’on ne peut les oublier.

Ainsi je me souviens de ma première méthode de lecture qui date de 1969 ou 1970…

Rendez vous compte, çà fait plus de quarante ans.

J’étais à l’époque à l’école communale de mon village et c’était une institutrice dont je me souviens aussi du nom, qui nous apprenait à lire. C’était à l’époque ou il y avait deux instituteurs, deux écoles et beaucoup d’élèves dans notre patelin qui comptait cinq cent habitants. Ils avaient d’ailleurs chacun un logement de fonction. Tout cela a disparu aujourd’hui et je ne sais même pas s’il reste encore une classe aujourd’hui.

 

Pour revenir au livre dont je parlais en préambule, je ne peux pas l’oublier car les personnages avaient des prénoms que l’on ne peut oublier. La fille s’appelait Malou et ses deux frères, Perlin et Pinpin.

J’avais une grand-tante institutrice en retraite qui s’était chargée de m’apprendre à lire très tôt  ce qui a facilité ma compréhension et suscité mon intérêt pour les petites aventures du quotidien que vivaient ces trois personnages. C’est marrant comme tout cela me passionnait.

Ensuite, on a tenté de m’imposer des lectures et je me suis braqué, ce n’est que 3 ou 4 ans plus tard à mon entrée en pension en classe de 6éme que j’ai découvert ma passion pour la lecture avec « Les aventures de Nils Holgerson » et « Le perroquet qui bégayait » d’Alfred Hitchcock.

Cette passion ne s’est plus jamais éteinte si ce n’est pendant ma traversée du désert lors de ma période de dépendance à l’alcool et je n’ai de cesse depuis de lire, de dévorer tout ce qui me passionne pour retrouver chaque fois ce plaisir que j’avais découvert il y a maintenant bien longtemps, avec Malou, Perlin et Pinpin.

 

18:29 Publié dans Souvenirs | Lien permanent | Commentaires (1)

03/02/2011

"Vendetta" de R.J Ellory

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Il y a un an, je découvrais par hasard à la bibliothèque, le premier livre de R.J Ellory qui a la chance de côtoyer dans les rayonnages son illustre voisin James Ellroy. Ce livre s’appelle « Seul le silence » et à l’époque j’avais été emballé, je l’avais d’ailleurs chaudement recommandé.

Quand j’ai vu que son second roman était paru en poche, je me suis empressé de l’acquérir et j’ai passé la semaine dernière à dévorer les 850 pages.

Franchement, cet homme est très doué car j’ai été tenu en haleine tout au long de cette histoire au suspense étouffant et intense.

Si vous aimez les thrillers relatifs à la mafia italienne aux Etats-Unis, alors ce livre est pour vous. Ellory  a écrit une histoire fictive avec comme toile de fond des vrais personnages et des faits réels. C’est comme si il avait réinventé l’histoire de la mafia.

Ames sensibles s’abstenir, certains passages du livre sont très durs. Inutile de rappeler que le monde de la « Cosa nostra » n’est pas un monde d’enfants de chœur et que la violence est omniprésente.

Pour vous mettre en appétit : Nous sommes en 2006. Alors que la fille du gouverneur de Louisiane a été enlevée, un homme âgé du nom d’Ernesto Perez se livre aux autorités et demande à s’entretenir avec un obscur fonctionnaire, Ray Hartmann. C’est la condition qu’il exige pour permettre au FBI de retrouver la jeune fille.

C’est la que l’on découvre l’incroyable histoire de cet homme, Cubain de naissance et son parcours de tueur à gages au service des parrains de la mafia.

Ray Hartmann de son côté qui travaille à Washington dans une unité de lutte contre le crime organisé, se bat pour se sortir de son alcoolisme afin de retrouver sa femme et sa fille.

Cette longue confrontation entre les deux hommes vous entraînera jusqu’à un dénouement des plus inattendus…

Mais je vous en ai déjà trop dit, précipitez vous sur ce livre,  vous vous, régalerez comme moi, sans doutes.

 

 

07:21 Publié dans Livre | Lien permanent | Commentaires (0)

01/02/2011

Waouh !!!

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Un nouveau cap vient d’être franchi sur mon blog, c’est une grande première. En effet, le nombre de visiteurs a été en janvier 2011 de 1004 personnes pour 3134 visites.

C’est un chiffre que je n’aurais même pas imaginé il y a encore quelques mois.

 

C’est aussi une grande fierté de penser qu’autant de gens viennent lire vos modestes écrits, vos anecdotes, vos souvenirs, vos états d’âme et d’autres rubriques encore.

 

Au fil des mois sont venus se greffer de nouveaux arrivants qui ont rejoint les premiers fidèles, ceux des premiers pas, ceux qui m’ont soutenu et cru en moi.

Je traverse actuellement un passage très difficile au niveau familial et écrire m’aide beaucoup à extérioriser ces difficultés, à canaliser ma frustration ou ma colère.

Merci à vous tous qui venez me lire, sans le savoir vous me rendez plus fort par votre fidélité.

 

Cette modeste réussite, je la dédie tout particulièrement à une personne qui a cru en moi dès nos premiers échanges, à qui je dois la renaissance de ma passion d’écrire, elle se reconnaîtra sans peine. Je l’embrasse très fort car elle ne peut pas imaginer comme elle a contribué à changer ma vie.

Merci encore à tous, je vais tacher de garder le cap et continuer à essayer de vous satisfaire du mieux que je peux.

 

19:36 Publié dans Blog | Lien permanent | Commentaires (2)