06/09/2009
Réponse à la question
A la question de vendredi, à propos du théatre du petit Saint-Martin, Qui et quand ? la réponse a été donné par un des plus fervents fans de cette artiste, j'ai nommé Mr Christophe de Nantes, himself.
Pour le féliciter d'avoir été le premier a répondre à la question, je viendrais spécialement de Lille le 5 octobre là pour le congratuler (et bien entendu pour assister au concert).
Donc, comme vous le voyez, une de nos meilleures interprètes francaise JIL CAPLAN, est à l'affiche le 5 octobre et c'est, comme vous le savez maintenant, quelqu'un que j'apprécie énormément et qui est à l'origine de ce blog.
Par admiration, par amitié pour elle, mais aussi parce que celà vaut le détour, je fais du "rentre dedans" et vous invite à nous rejoindre ce soir là pour apprécier comme il se doit une chanteuse, auteur/compositeur qui non seulement sait chanter mais qui aussi nous propose aussi des textes qui ne racontent pas les niaiseries habituelles que l'on entend trop souvent ces dernières années (attention, je ne mets pas tout le monde dans le même panier).
Normalement, elle sera entourée de ses musiciens habituels et en particulier de son grand ami Jean-Christophe Urbain (ex Innocents) auteur, compositeur et musicien de grand talent. Belle affiche non ?
Donc, venez nombreux nous rejoindre, ce sera une très belle soirée à n'en pas douter.
Jour J -30
06:00 Publié dans Musique | Lien permanent | Commentaires (0)
05/09/2009
John Fante "Demande à la poussière"
En 1979, Charles Bukowski a écrit un très beau texte sur John Fante et son livre "Demande à la poussière". L'hommage est vibrant, sincère , fort et Buk, conclut son propos en disant de ce livre, je cite "Il allait toute ma vie m'influencer dans mon travail".
C'est vrai que dans certains de ses ouvrages, Bukowski, fait référence à Fante, avec un respect et une admiration sans faille qui excite la curoisité.
C'est donc avec joie que j'ai trouvé ce livre à la bibliothèque d'Armentières et qu'en trois soirées, je l'ai dévoré mot par mot, page par page.
Le "héros" de l'histoire, est un très jeune écrivain, Arturo Bandini, qui vit à Los Angelès dans une piaule et qui malgré la publication d'une première nouvelle, ne retrouve pas l'inspiration et survit difficilement sans un sou en poche.
Deux femmes qu'il va rencontrer vont changer son destin Camilla Lopez et Vera Rivken.
Vera va lui faire découvrir l'amour au sens physique du terme et lui apportera l'inspiration . Quant à Camilla,flamboyante mexicaine et serveuse dans un bar, il va en tomber amoureux mais vivra une relation plus que tumultueuse, basée sur la cruauté, la haine et l'humiliation. Ajoutez à celà un voisin de chambre alcoolique, un barman tuberculeux et écrivain raté et vous aurez l'essentiel des personnages de ce livre. Bandini, va voir sa situation évoluer mais ce ne sera pas sans dégats autour de lui, comme si sa provisoire réussite entraînait la chute des autres.
Ce qu'il y a par contre à retenir de cette oeuvre c'est la simplicité dans l'écriture mais avec de l'émotion, de l'humour, de la douleur, des sentiments forts et puissants au détour de chaque mot. Attention, une fois accroché dans l'histoire, on ne peut pas s'en détacher, même si les personnages sont parfois détestables, voire antipathique et si l'ambiance est parfois sombre, c'est un plaisir que de parcourir ses lignes qui n'ont pas pris une ride (le livre est sorti en 1939).
Voilà, j'éspère que je vous ai donné l'envie de lire ce livre. En tous cas, il m'a enchanté et je vais tacher de lire les autres livres de John Fante.
Bonne lecture !!!
07:31 Publié dans Livre | Lien permanent | Commentaires (2)
04/09/2009
Bientôt au théatre du Petit Saint Martin...
QUI et QUAND ?
12:19 Publié dans Jil Caplan | Lien permanent | Commentaires (1)
Les larmes aux yeux
Hier soir,en travaillant sur mon dernier article, j'écoutais d'une oreille distraite le premier album des TRAVELING WILBURYS le super groupe dont je vous ai parlé la semaine dernière, un moment,je me suis arrêté d'écrire pour écouter l'un des titres en particulier.
Il s'agissait de "Not alone anymore" et le "lead singer" était Roy ORBISON. La chanson est si belle et la voix de Roy si splendide que les larmes me sont montées aux yeux. Lorsque j'écoute de la musique certains morceaux me donnent des frissons, d'autres me tirent des larmes de plaisir ou de tristesse. Là c'était de plaisir, tellement la chanson est magnifique. Triste aussi car je repensais que le grand Mr Orbison est mort quelques temps après la sortie du disque.
Elvis Presley avec lequel il avait tourné dans les années 50 (avec Johnny Cash, Jerry Lee Lewis et Carl Perkins) disait de lui qu'il avait la plus belle voix du monde. C'est pratiquement vrai, sa voix n'était pas seulement belle, elle était teintée d'une vibrante émotion de façon quasi permanente.
Pourtant, ce mec au physique de bon garçon n'a pas été épargné par la vie. Sa première épouse se tuera dans un accident sous ses yeux et quelques années plus tard deux de ses trois fils périssent dans l'incendie de sa maison. C'est avec l'aide de ses proches amis dont June et Johnny Cash qu'il remontera la pente non sans être profondément marqué.Il se remariera mais aura de graves problèmes cardiaques qui entraîneront une opération en 1978 et qui malheureusement l'emporteront le 6 décembre 1988 à l'age de 52 ans.
Il reste une des figures les plus marquantes du rock n' roll et malgré un passage à vide au début des années 70, sa popularité restera intacte et sa carrière était presque à son apogée au moment de son décès et c'est un grand dommage pour nous tous.
Reste ses disques, ses participations avec d'autres artistes, cette gentillesse ainsi que cette voix magnifique et inoubliable. Roy est au paradis des rockers avec ses amis et nul doutes que quelque part là haut, il doit y avoir de sacré "boeufs" qui se font.
05:24 Publié dans Musique | Lien permanent | Commentaires (0)
03/09/2009
Lever de soleil de septembre
Ces trois derniers jours, malgré la difficulté de se replonger dans le train-train du travail après plus de trois semaines de vacances, il y une chose très agréable que j'apprécie particulièrement le matin.
Lorsque je me lève (souvent très tôt, entre 4h et 5h30 suivant la qualité de mon sommeil) la nuit est encore noire quand j'ouvre les volets.
Le temps de vaquer à mes occupations, le jour se lève tout doucement et lorsque le soleil d'été est encore là, on a l'impression qu'il arrive derrière le rideau que forme la nuit et qu'il le déchire doucement, morceau par morceau, bande par bande, comme s'il avait de puissantes griffes.
Celà donne dans le ciel cette couleur de noir et or mélangés ainsi qu'une atmosphère de quiétude, c'est très plaisant.
Lorsqu'on traverse la campagne le matin et que l'on assiste au fil des minutes à ce spectacle, c'est fantastique et on se dit que la nature nous offre de bien belles choses encore et qu'elle mérite qu'on la préserve comme un trésor inestimable.
Voilà, j'avais envie de partager avec vous cette sensation et vous invite à faire comme moi, si toutefois vous êtes un lève tôt. Sinon, bien belle journée à vous toutes et tous...évidemment.
05:30 Publié dans Mon quotidien | Lien permanent | Commentaires (1)
02/09/2009
All my loving !!!
Bonjour à tous,
Quoi de mieux pour vous remercier de votre fidélité qu'un titre des BEATLES qui transcrit bien ce que je pense.
Il n'y a pas meilleure photo pour illustrer ma gratitude que ce petit mot sur la machine à écrire. Et même si ces dernières ont été supplantées par les claviers d'ordinateur, la finalité reste la même, une des plus belles choses que l'homme a inventé: l'écriture.
Ainsi vous avez été 235 visiteurs à être passés ici (soit 58 de plus qu'en juillet) pour 1230 visites (533 de plus).
Pourquoi ces chiffres ?
Tout simplement parce que je suis fier et que je me souviens de la première fois où je me suis assis devant le clavier pour écrire ma première note en me demandant ce que j'allais pouvoir dire (n'est ce pas Mr Arturo Bandini ?) Ce que je vous écrit aujourd'hui est mon 115ème article et ce ne sera pas le dernier. Merci à vous tous chaleureusement pour ces nombreuses visites et une nouvelle fois, je voudrais exprimer ma gratitude à "Miss V" car ce blog est un véritable refuge pour moi et un tremplin fantastique pour m'exprimer et c'est à elle que je le dois.
Les portes de "J'aime...je déteste" vous sont toujours grandes ouvertes,
Excellente journée,
Christophe.
06:29 | Lien permanent | Commentaires (1)
01/09/2009
Je lève le pied.
Lorsque j'étais très jeune, je rêvais souvent que je me retrouvais au volant d'une voiture folle qui dévalait une descente. Bien entendu, je n'en avais pas le contrôle mais je me réveillais toujours à temps. Je n'imaginais pas à l'époque qu'un jour mon métier serait un métier où l'on roule beaucoup.
Je n'ai jamais été accro aux bagnoles et encore aujourd'hui, lorsque l'on me parle arbre à câmes, cylindres en V, ABS,GTI, pour moi c'est de l'hébreu (avec tout le respect que je dois à cette langue).
Je n'imaginais même pas à l'époque, apprendre à conduire. Du reste lors de mes cours de conduite les débuts furent laborieux, je ne savais même pas comment on passait les vitesses. J'ai finis par avoir le permis en 1985 et quatre ans plus tard, je "montais à Paris" pour le boulot de commercial...itinérant.
J'avoue que la conduite en région parisienne m'a obligé à me débrouiller et aujourd'hui encore certains réflexes (bons ou mauvais) datent de cette époque. Il m'arrivait, encore récemment, pressé par le temps de pousser des pointes de vitesse (sauf en ville bien sur).
J'ai eu un accident à Lille, sans gravité heureusement, mais par fatigue (c'était la veille des vacances) et par inattention (la tête ailleurs). Pendant les vacances, responsable de cinq personnes, j'ai roulé "pépère" ce qui n'a pas été désagréable.
Tout celà m'amène donc à vous dire ceci, j'ai pris la décision de lever le pied et j'ai commencé aujourd'hui. Tant pis pour les "fadas" qui me collent aux fesses, je roule tranquille qu'on se le dise !!!
Alors si un jour vous suivez un Partner immatriculé 591 CJT 59, ne le poussez pas au c.., ça ne sert à rien.
La bonne journée à toutes et tous.
06:00 Publié dans Mon quotidien | Lien permanent | Commentaires (0)