07/05/2013
Christophe le jardinier
Quand nous étions adolescents, pendant les vacances, nos parents nous demandaient souvent de faire différents travaux de jardinage. Il faut dire que derrière notre maison, au village, il y avait une grande pelouse et un grand jardin potager.
Mes parents faisaient pousser des poireaux, des pommes de terres, des haricots, des petits pois, des salades, des herbes aromatiques, des citrouilles, il y avait aussi deux cerisiers, un pommier, des pêchers, un framboisier, des fraises, de la rhubarbe et j’en passe.
Pendant les vacances, nous préférions nous amuser mon frère, mes frangines et moi et nous ne manquions pas d’imagination pour inventer moult histoires qui peuplaient nos après-midi ensoleillés et ludiques durant tout l’été.
Oui mais voilà, Fred et moi étions en âge de donner un coup de main et il fallait de temps en temps, désherber les allées, cueillir les haricots ou les pois, aider à repiquer les poireaux ce qui, pour nos parents, était normal. Cela dit, nous n’avions pas du tout envie de nous atteler à ces tâches et c’est en rechignant et de mauvaise grâce que nous les exécutions.
Depuis, le temps a passé et pendant près de trente ans, j’ai vécu en appartement, d’abord seul puis avec ma famille. Ce n’est que depuis septembre dernier que nous habitons une maison avec terrasse et un bout de jardin.
Depuis deux jours que je suis en vacances, je passe du temps à soigner la pelouse, à tailler les haies, à nettoyer les plates bandes, à travailler la terre pour y semer des graines de fleurs. Cela me détend énormément et me fait un bien fou, physiquement et moralement.
Les temps ont bien changé et je repense en travaillant avec ardeur à cette période où l’on ne savait pas la chance que nous avions de vivre entourés de fruits, de légumes et de verdure.
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25/01/2013
3éme classe
Le TGV que j’ai emprunté lors de mon retour de formation à Lyon était fortement rempli de passagers. Il venait de Perpignan et avait pour terminus Bruxelles. Il était 17h, heure de pointe et je vous laisse imaginer que je n’étais pas aussi tranquille que le matin même dans la rame que j’occupais au train de 6h02 à Lille.
Peu après le départ du train, alors que les gens passaient et repassaient, dans l’impossibilité de me concentrer sur ma lecture, je posais mon livre sur les genoux, et je fermais les yeux.
Je me mis alors à imaginer quelle serait la réaction de ma grand-tante, née en 1898 et décédée en 1984 si elle revenait aujourd’hui. C’était une ancienne institutrice, vieille fille, rigide, aux principes stricts et à la morale irréprochable (chose dont je ne suis plus certain depuis que j’ai atteint l’âge adulte).
Mais je reviendrai une autre fois sur son cas car ce qui nous intéresse aujourd’hui, c’est sa réaction si elle revenait parmi les vivants dans une rame de TGV Lyon/Lille en pleine heure de pointe en 2013, elle qui a connu les voyages en 3éme classe (et oui, çà a existé les wagons avec sièges en bois pour ceux qui avaient peu de moyen mais cette classe fut supprimée en 1956).
Autour de moi, dans la voiture n°8, poussaient les ordinateurs portables comme des champignons dont heureusement, la plupart des propriétaires avaient coupé le son. Par contre, ce qui me choquait, me choque et me choquera toujours, ce sont les allées et venues de ces gens dans le sas, pour téléphoner. On a l’impression que certains ne peuvent vivre sans leur p….. de portable. D’autres avaient moins de délicatesse et ne se gênaient pas pour échanger à voix haute avec leur correspondant, bien assis à leur place. Merci pour ceux qui tentent de lire ou de se reposer.
Et puis, tant pis si ce que je vais dire me fait passer pour un vieux ringard mais à Paris, est monté un jeune de 25 ans qui une fois assis, a sorti son portable « écran géant » pour lire ce qui semblait être un livre. Je vous avoue que l’amoureux des bouquins que je suis était choqué. Moi qui aime tant l’odeur du papier et de l’encre, le contact des doigts sur les pages, le plaisir de tenir un livre entre mes mains, je ne comprenais pas. Quel plaisir peut on avoir à tenir un appareil à bout de bras pour lire 20 lignes que l’on est obligé de faire défiler par un clic ?
Je me pose sincèrement la question et je me dis que si feu, ma grand-tante était brusquement revenue, elle en aurait fait une crise cardiaque, c’est sûr (et hop, retour à la case départ).
J’aime le progrès, je reconnais qu’il y a des choses dans le développement de la communication qui sont positives. La grande question que je me pose, c’est si tout cela ne va pas un peu, voire beaucoup trop vite. Lorsque j’imagine la vie quand j’avais 10 ans et celle d’aujourd’hui, le fossé est gigantesque et pourtant, il n’y a que 39 ans de séparation, ce qui à l’échelle du temps, est infime.
Ringard, désuet, vieux con, réaliste, cynique, philosophe, je vous laisse le soin d’en juger par vous-même, il n’empêche que…
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28/08/2012
Carry that weight
Jour J moins 3. Samedi, c’est le grand jour, après 14 ans passés en appartement à Armentières, nous allons enfin partir vivre dans une jolie petite maison avec véranda, terrasse et jardin.
Ce sera mon 12éme logement que je vais occuper, au total, cela fera 14 différents de 0 à 48 ans. Depuis que j’ai quitté la maison familiale, j’ai toujours vécu en appartement et j’avoue que la perspective de me retrouver enfin dans une maison me ravit.
Cela dit, j’en ai ras le bol, depuis 6 août, je n’ai pas arrêté une minute : enlever des vieux papiers peints, poncer, reboucher, repeindre, démonter tous les meubles, trier 14 ans et plus de vie, vendre, donner, jeter et encartonner. Je suis franchement crevé et j’en ai marre.
Je crois que pour une fois, je vais être content de reprendre le boulot même si derrière, il faudra passer plusieurs soirées et week-end à remonter, réinstaller, vider et ranger.
C’est clair, je n’ai jamais aimé les déménagements et je n’aime toujours pas car la fatigue et le stress sont inévitablement au rendez-vous.
Une bonne partie d’entre vous sait par quelles galères nous sommes passés ces dernières années et franchement, nous espérons que ce changement de logement nous aidera à faire enfin tourner la roue dans le bon sens et qu’une partie de nos soucis resteront dans l’appartement. Je confirme, ils ne seront pas dans les cartons, ils resteront au fond d’un placard fermé à clé.
J’en profite pour souhaiter de bonnes fins de vacances à ceux qui y sont encore et une bonne reprise pour les autres.
Je salue au passage toutes mes amies et tous mes amis, je vous embrasse et vous dit à bientôt.
20:07 Publié dans Mon quotidien | Lien permanent | Commentaires (0)
15/10/2011
Les feuilles mortes...
C’est vrai que l’on n’a pas eu un bel été, ce serait mentir que de dire le contraire. On entend depuis un moment déjà qu’il n’y a plus de saisons, que celles bien tranchées que l’on a connu autrefois ont disparues.
C’est un peu vrai, le printemps est de plus en plus précoce car les hivers ne sont pas très rudes ou seulement pendant quelques semaines. L’été on vient d’en parler, c’est tout ou rien, ou bien l’on crève sous une chaleur lourde et étouffante, ou bien on est arrosé par la pluie.
Finalement, il n’y a qu’une saison qui reste la même c’est l’automne…ma préférée. Et là, maintenant on y est, en plein dedans. Déjà, il y a une semaine, sur le tronçon d’autoroute entre Armentières et Lille, les abords étaient remplis de feuilles mortes que le vent avaient balayé des arbres.
Oui, j’aime beaucoup l’automne, lorsque les feuilles prennent des teintes ocres, rouges, ambrées, jaunes, or, c’est magnifique. On a l’impression qu’un peintre géant a donné des petits coups de pinceau dans les arbres pour donner cet aspect chamarré aux arbres des bois et des forêts.
J’adore les odeurs d’humus qui se dégagent des tas de feuilles, de la terre, ces parfums capiteux m’enivrent et me ramène des années en arrière, dans le jardin de mes parents qui à cette période de l’année était parfumé des mille senteurs de l’automne.
J’aime aussi ce soleil un peu plus pâle, comme si le soir il était plus fatigué qu’en d’autres saisons. J’aime aussi le vent qui fait virevolter en gros tourbillons les feuilles mortes qui se sont amassées au pied des arbres, dans les bordures, sur les trottoirs.
L’automne a un effet bizarre sur moi, il me remplit de nostalgie mais en même temps, je me sens bien, détendu, presque heureux.
Peut être que ces odeurs de terre, que le vent, la pluie me font prendre conscience que je suis vivant, en bonne santé et que finalement c’est cela la richesse, la vraie.
Les feuilles mortes se ramassent à la pelle, tu vois, je n’ai rien oublié…
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02/07/2011
47
On ne peut pas dire que je suis issu d’une famille de grande tradition sportive. Je me souviens de mes premières foulées alors fraîchement débarqué en classe de 6ème et de ces cours de gym qui étaient pour moi un calvaire.
Je détestais courir ces longs cross autour de l’école, parfois en plein hiver, sous la pluie et les pieds dans la boue. Je n’étais pas très doué pour le football et j’ai toujours les pieds carrés. Grimper à la corde était un supplice et j’ai encore dans la tête, les quolibets et le sadisme de certains professeurs qui prenaient plaisir à humilier les gamins comme moi, pas très doués pour le sport. Quand je repense à certains d’entre eux aujourd’hui, je me sens bien plus fort et bien supérieur, mais pas pour les mêmes raisons.
Ces 25 dernières années, on ne peut pas dire que j’ai vraiment pris soin de moi. J’ai pas mal fumé, j’ai, jusqu’à ma décision d’arrêter net il y a six ans, bu beaucoup d’alcool, je n’ai pas ménagé mon dos, je mangeais peu équilibré et je me laissais physiquement aller.
Lundi 11 avril 2011, je n’ai pas le moral, certains savent que nous vivons des heures difficiles au niveau familial, que cela a des répercussions et des conséquences fortement négatives sur le plan humain et sur le plan matériel. Je me sens mal dans ma tête, physiquement fatigué, lourd, mal dans ma peau aussi, mon dos me refait mal, Je me suis aussi remis à fumer depuis trois semaines. Bref, je ne vais pas bien.
J’en parle à mon collègue et ami Alan qui me propose alors d’aller courir une fois par semaine avec lui. Dans le même temps je prends plusieurs décisions : arrêter les cigarettes, rééquilibrer mon alimentation et remonter régulièrement sur mon vélo d’appartement.
La première séance de jogging fut un véritable calvaire, j’ai craché mes poumons et je me suis rendu compte que la carcasse était rouillée, j’ai cru que j’allais m’écrouler.
Depuis, à force d’entraînements réguliers sur mon vélo sans roues, d’une nourriture bien plus légère, composée de beaucoup plus de légumes et de fruits qu’auparavant, les séances de courses à pied deviennent beaucoup moins dures et hier soir, pour la première fois, j’y ai pris du plaisir.
Forcément, j’ai perdu du poids et en 75 jours je suis passé de 107.3 kilos à 97. Je me sens beaucoup mieux et cela m’aide énormément à encaisser et supporter la phase difficile que nous traversons.
Dernière chose importante, j’ai été soutenu, par mon épouse d’abord, par Sarah et Maxime mes deux enfants mais aussi par beaucoup d’amis et les petits mots d’encouragement que je reçois régulièrement me font du bien et viennent renforcer cette volonté que j’ai aujourd’hui à l’aube de la cinquantaine de me maintenir dans un état de santé correct car nul ne sait, moi comme les autres, de quoi sera fait demain.
10:07 Publié dans Mon quotidien | Lien permanent | Commentaires (0)
25/04/2011
Tourterellophobie.
Oui c’est beau une tourterelle, c’est racé, élégant, un joli plumage, bref un bel oiseau. Je ne dirai pas le contraire quant à l’esthétique de l’animal mais pour le reste, je dois avouer que je hais ces bestioles.
Voila douze ans que nous habitons la résidence dans laquelle se situe notre appartement et d’un ou deux couples de tourterelles, nous sommes passés à un douzaine.
Outre le fait que ces élégants animaux se posent sur les rambardes de balcon pour se soulager et copieusement les décorer, ils émettent aussi des gloussements qui, à force, deviennent très vite désagréables.
C’est vrai que ces « cris » au beau milieu d’une forêt ou d’un bois peuvent être charmants, je veux bien l’admettre, mais quand ces oiseaux dès l’arrivée des beaux jours viennent glousser sous vos fenêtres dès six heures du matin et finissent par vous réveiller, alors là, arghhhhhhhhh, c’est la haine.
Je l’avoue sans honte, parfois, alors que je tente vainement de me rendormir, je rêve d’attraper une de ces charmantes bestioles et de lui tordre le cou.
Je sais, çà va choquer les amis de la nature et les écolos mais je m’en fous, d’autant que je ne suis jamais passé à l’acte et que je ne le ferai probablement jamais.
Mais bon, çà fait des années que je suis enquiquiné par les tourterelles et que tout le monde s’en contrefiche alors c’est décidé, je crée une association de défense contre la nuisance sonore de ces infernales bestioles.
Sur ces bonnes paroles, bonne journée à toutes et tous !!!
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02/07/2010
In the oven
Moite, étouffante, intenable, lourde, pénible, telle est l’atmosphère en ce début d’été,
Je me traine comme une loque, abattu, épuisé par la chaleur, j’ai du mal à respirer.
Je suis avachi dans un fauteuil, n’osant bouger un seul cil, ou allongé, immobile.
J’ai ouvert toutes les fenêtres de l’appartement pour tenter de faire des courants d’air.
La nuit je fais de même, pour que l’air devenu plus frais envahisse un peu les pièces.
Je n’aime pas cela, je déteste me sentir collant de transpiration, ou suant comme un bœuf au moindre effort.
Et puis il y a tout ces bruits qui viennent du dehors et qui deviennent vite envahissants, agaçants, intenables parfois,
Les gamins qui tapent comme des sourds dans un ballon en hurlant, les voisins qui s’installent sur leur mini terrasses et qui vocifèrent,
Le bruit infernal des mobylettes, l’odeur des gaz brûlé des pollueurs qui laissent impunément tourner leur moteur de voiture.
Alors, comme chaque année, au grand dam de mon entourage, je me remets à rêver à l’hiver et au froid.
Au moins quand on a froid, on peut remonter le chauffage, mettre un pull, rajouter une bonne couverture,
Mais là quand il fait chaud, que faire, une fois vêtu du plus simple appareil ou nu comme un vers, que faire si la chaleur s’accroit ? Rien, hélas…
Alors oui, je me dis vivement une bonne pluie salvatrice pour que la fraicheur revienne, pour que le sol chaud dégage cette agréable odeur aux premières gouttes de pluie,
Vivement l’automne et ses belles couleurs, son soleil pâle, ses journées douces et apaisantes.
Je me souviens de ces étés il y a plusieurs années, alors qu’à l’époque j’habitais dans des petits studios, sous les combles, c’était intenable.
Ca me permet de mieux supporter la chaleur dans mon grand appartement aujourd’hui mais au fil des ans, je supporte plus difficilement cette moiteur, alors ça ne change pas grand-chose.
Certains me traiteront de dingue, de fou ou de malade, je ne leur en voudrai pas mais il faut croire que je suis le contraire de certaines espèces,
Si je devais hiberner, moi, ce serait en été, au frais, à l’abri de ce four naturel géant, de cette étuve, et je me réveillerai au début de l’automne.
Il est deux heures du matin, il fait plus frais, je respire mieux et la rue est calme, je vais pouvoir aller me recoucher, calmement, me détendre et me rendormir pour quelques heures.
Quelques heures avant qu’une énorme main invisible ne vienne rallumer ce four géant…
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12/05/2010
Lumbago
Il y a quelques jours, je vous annonçait un futur changement dans ma vie professionnelle qui va m'amener à faire beaucoup moins de kilomètres, il est temps !!
Lundi matin, en arrivant à Valenciennes, une douleur m'a vrillé le dos. J'ai continué à aller visiter mes clients toute la journée et je l'ai finie en réunion à Arras jusque 18h45. Résultat, retour à la maison une heure plus tard, avec le dos très douloureux.
La nuit de lundi à mardi fut infernale, réveillé sans cesse par la douleur. Résultat: lumbago aigü.
De ce fait, je ne peux rester trop longtemps assis et c'est la raison pour laquelle, mes textes sont courts. Veuillez me pardonner, je reprendrai la plume rapidement et plus efficacement dès que j'irais mieux.
Bonne journée à vous et soyez prudents !!
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08/05/2010
Un changement important
Bon ben ça y est, tout vient à point à qui sait attendre.
Voilà six ans que je vais visiter la clientèle du secteur Valenciennes, Maubeuge, Douai, Cambrai. Mon client le plus loin était à une heure et demie de route de chez moi pour vous donner un ordre d'idée. Ce secteur, je l'aime bien, j'y ai fait du bon voulot, je m'y suis investi seulement voilà...
Six ans c'est long et la lassitude commençait à s'installer. Six ans c'est six de plus à mon compteur personnel et même si je suis en bonne santé et plutôt solide (à part le dos), la fatigue de la route se fait sentir de plus. D'Armentières il me fallait partir tôt (6h30/6h45) pour éviter les bouchons de Lille, bouchons dans lesquels je me retrouvais le soir, bref un certain ras le bol.
Il y a quinze jours, un de mes collègues a donné sa démission. Son secteur, Armentières et les Flandres, en gros dans un rayon de 40 kms autour de la ville où je vis. L'occasion se présentait enfin de changer.
J'ai donc rédigé un courrier explicite, dans lequel je présentais un maximum d'argument pour proposer à la direction de ma société un changement d'affectation.
Jeudi matin, ç'a m'a été confirmé officiellement, mes arguments les ont convincus, à partir du 1er juin, je démarre sur mon nouveau secteur.
Pour moi c'est un changement important pour plusieurs raisons:
-Je vais travailler beaucoup plus près de chez moi, avec une clientèle quasi à ma porte.
-Je vais y gagner physiquement (moins de fatigue et de stress)
-Je connais bien le secteur
-Je vais travailler avec le magasin local dans lequel officient deux collègues avec lesquels je m'entend à merveille.
Moralité: "Tout vient à point à qui sait attendre" mais aussi "Aide toi et le ciel t'aidera" ...
Excellent week-end à toutes et tous !!!
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07/05/2010
Une semaine très tendue...
Nom de Zeus de nom de Zeus que je suis content de voir se profiler la fin de cette semaine.
Cela fait en effet plus de 10 jours que je suis stressé, tendu comme une corde à piano, et encore, le mot est faible.
Lors de ma visite quotidienne chez le toubib, vendredi dernier (je suis suivi pour mes problèmes de dos), le docteur m'a confirmé que j'étais noué comme un vieil arbre...le stress.
Lundi et mardi, j'étais en stage/formation durant lequel on a revisité les basiques de la vente, les techniques, les méthodes d'organisation etc... etc... Comme c'est une formation împosée, je me suis inquiété et demandé où cela allait nous mener. Résultat, correct, l'animateur était sympa, le groupe aussi et j'avoue avoir été interessé par certains éléments de la formation.
Mercredi, un rendez vous difficile avec un nouvel acheteur chez un de mes clients, froid, distant et "j'me la pète". Je suis resté calme et de marbre mais si j'avais pu...
Jeudi (hier), phoning, télévente de 7h30 à 17h30 pour vendre des nettoyeurs haute pression, des auto-laveuses, des balayeuses et des aspirateurs industriels. La tension était au maximum, la pression aussi. Je nai pas digéré le repas du midi et j'ai fini la journée sur les rôtules à 75% de l'objectif qui m'avait été fixé. Au final, on a tous réussi l'objectif mais quel stress !!!
Alors aujourd'hui, c'est vendredi et vendredi c'est youpi, ce matin je vais en clientèle voir des clients sympas et cools et cet après midi, je fais mon administratif chez moi, au calme. On va essayer de déstresser un peu après une nuit agitée par des rêves fatigants ('est systématique, chaque nuit qui suit une télévente, je dors toujours très mal).
Le week-end arrive, c'est autre chose, il va y avoir du mouvement (je vous le raconterai plus tard) mais ce n'est pas pareil, et la semaine prochaine, je ne bosse que trois jours...ça va faire un de ces biens le week-end de 4 jours !!!
Bon, voilà, je me lève du divan, merci de m'avoir écouté, belle journér à vous !!
;-)
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