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28/04/2009

Le carnet du cinéma

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Bonjour chers visiteurs,

Je n'ai malheureusement pas toujours l'occasion de trainer dans les salles obscures, faute de temps et avouons le, à cause du prix excessif des entrées. La culture est un luxe, mais ceci fera l'objet d'un autre débat.

Donc vous disais-je, il m'arrive quand même de me "faire une toile" et la semaine dernière nous sommes allés voir le dernier film d'Alex PROYAS "Prédictions" avec Nicolas CAGE en tête d'affiche.

Franchement, l'histoire démarre bien et rappelle un peu le côté étrange et angoissant de "6éme sens", la course effreinée contre le temps est haletante et le petit Nicolas qui a bien grandi, n'a plus à prouver qu'il est un des acteurs en vue au box office (ça fait pro de dire ça) et que son talent n'est pas usurpé et uniquement du à tonton Francis (Coppola).

Les effets spéciaux sont époustouflants et impressionnants sur grand écran. L'expression "à couper le souffle " n'est pas usurpée.

Seules ombres au tableau:

-Quand les américains ne peuvent s'empêcher de faire du nationalisme exacerbé avec l'inévitable image de leur drapeau  en gros plan qui flotte dans le vent. Franchement c'est inutile et agacant.

-Le final du film et la solution un peu facile et simpliste que je ne vous révèle pas pour ne pas gacher vôtre plaisir.

"Prédictions" reste néanmoins un bon film et vous passerez, amateurs du genre, comme moi, un bon moment de cinéma.

19:16 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (0)

26/04/2009

Mick, Keith et les autres...

C'est vrai, je fais souvent téférence aux Beatles, sans qui rolling-stones-1976.jpgje n'aurais pas courtisé aussi bien la musique et sans qui je n'aurais sans doute pas fait d'elle, cette passion qui est la mienne aujourd'hui.

Il y a cependant, une bande de sales rockers qui a traversé toutes les modes, qui malgré des ouragans parfois durs et violents est toujours là et dont je suis fan depuis 1978 et l'écoute de leur superbe album "Some girls".

Drogue, alcool, scandales, meurtres, mort ont traversé leur existence mais ils sont toujours debout et Keith qui a fleurté maintes et maintes fois avec la dame à la faux, en est la preuve vivante.

Aujourd'hui, alors qu'un méchant blues me traverse le corps et l'esprit, c'est un disque des pierres qui roulent que j'ai posé sur la platine. Leurs rocks rageurs, leurs balades aigres douces, leur rythm n' blues (le vrai) me transportent dans des salles enfumées, sentant la bière et la sueur tout en me rajeunissant de 25 ans d'un coup.

Je suis au milieu de la foule , je vois Mick se dandiner sur la scène au côtés de Keith qui agresse sa Fender telecaster à grand coups de riffs, Charlie qui martèle le tempo avec la sobriété et le professionnalisme qu'on lui connaît et Ronnie qui assure comme d'habitude, sans oublier l'ombre de Bill Wyman, toujours présent dans le coeur des fans tout comme l'esprit de Brian Jones ou le talent de Mick Taylor.

Satisfaction, Brown sugar, Honky tonk woman, Starfucker, Respectable,When the whip comes down, Let it bleed, Live with me, Gimme shelter, Sympathy for the devil... elles défilent toutes pour me transporter sur la planète Rock n' roll.

Alors je saisis promptement ma guitare, et je rejoins le groupe pour jammer avec eux.

It's only Rock n' Roll...but I like it !!!

12:32 Publié dans Musique | Lien permanent | Commentaires (0)

Etats d'âme

tristesse.jpgJ'ai mal dans mes pensées,

La tempête déchire ma tête,

je ne comprends pas pourquoi,

Je me sens soudain abandonné,

Pourquoi tous ces silences ?

Pourquoi cette ignorance ?

les questions vrillent mon cerveau,

L'inquiétude sournoisement m'envahit,

Qu'ai je donc fait, qu'ai je dit ?

Sans réponses à mes questions,

Je me sens comme une baudruche dégonflée,

Sans âme, sans raison d'exister.

Si seulement je pouvais comprendre.

Car au moment ou le soleil brillait un peu,

Voilà qu'il s'éteint de nouveau.

La vie est elle si mal faite,

Qu'au moment où vous pensez,

Touchez du doigt la lumière,

Brutalement elle s'évanouit,

Voul laissant triste et désemparé.

24/04/2009

Delirium tremens

300913992_d5347f5b7b.jpgBonjour à tous,

Je n'ai pas la prétention, en écrivant ce qui va suivre de faire la morale à qui que ce soit, il s'agit simplement d'un témoignage sous forme de chanson, que j'ai écrite il y a quelques semaines.

En effet il y aura bientôt quatre ans que je n'ai plus touché à une seule goutte d'alcool. Il faut savoir qu'à l'époque je touchais presque le fond à cause de ma dépendance et que j'ai faillis tout perdre, famille, travail et dignité.

La chanson qui va suivre, était en gestation depuis un moment mais l'heure n'était pas encore venue, ce n'est arrivé qu'il y a quelques semaines alors que l'envie de réécrire des textes en français m'est revenue. Aujourd'hui, je me sens bien dans ma tête, j'ai retrouvé des sensations physiques et intellectuelles que j'avais perdues, je relis beaucoup, je recompose à nouveau, je profite de ma famille et depuis peu, j'ai retrouvé le plaisir d'écrire, ce qui ne m'était plus arrivé depuis mes 15 ans.

Je vous livre donc cette chanson que je dédie a trois personnes que j'ai connues et qui ont disparu directement ou indirectement à cause de l'alcool, J.Y, H et F.

Les deux autres dédicaces, sont pour mon épouse et mes trois enfants qui m'ont poussé à m'en sortir et pour Valentine qui m'a redonné le goût de l'écriture, soyez tous bénis.

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Il a la tête rongée par l'alcool,

Pas envie de claquer,

Envie de s'arrêter,

Chaque semaine c'est la même rengaine,

Des deux pieds il freine, c'est sûr, demain il arrête,

Mais ça revient comme un vieux démon,

Tout les prétextes sont bons,

Pour se trouver des raisons,

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Non il ne veut pas partir,

Non il ne veut pas souffrir,

Il voudrait revenir en arrière,

Recommencer et quitter cet enfer.

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Il a fini par perdre ses amis,

Sa femme, ses enfants, ils sont tous partis,

Et il se retrouve comme un con,

Entouré de ses bouteilles,

Il a perdu le sommeil,

Ça y est, maintenant il est seul,

Ça ne sert à rien de pleurer,

Il sait qu'il l'a bien cherché.

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Il se traîne dans sa solitude,

Il a brisé sa vie, perdu ses habitudes,

Il arrive au bout de la route,

C'était son destin, sans doutes.

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Il ne sait plus réfléchir,

Ses idées s'embrouillent,

Il n'écrit plus c'est fini,

Ni poèmes, ni textes, ni chansons,

Perdu dans sa folie,

Maintenant il touche le fond,

Tout celà, il fallait y penser,

Il est vraiment fichu,

On l'avait pourtant prévenu.

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Il se sent si mal,

Dans son corps, dans son âme,

Pire qu'un animal,

Voilà sa vie, son drâme.

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Il ne peut plus se regarder,

Il refuse de se voir,

Dans son propre miroir,

Il ne sait plus marcher,

Il se traîne comme il peut,

A même le plancher,

Des lueurs dansent devant ses yeux,

Il sent que c'est la fin,

Maintenant seulement, il se sent bien.

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Une douce paix l'envahit,

Le calme et la plénitude,

Il sait maintenant avec certitude,

Que dans une autre vie, il est parti.

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Très bonne journée à tous,

Ch.

 

22/04/2009

Un conte de fée moderne

wcztz2l5.gif-Comment lui faire comprendre ?

-Vais je un jour pouvoir la rencontrer ?

-Pourrais je lui expliquer qu'il y a tant de choses dont j'aimerais lui parler ?

Depuis un moment déjà, Louis-Alexandre se torturait l'esprit avec ces questions qui, sans pourtant le miner, lui travaillaient l'esprit.Vous vous demandez sûrement pourquoi ?

Il était une fois, il y a plusieurs années maintenant, un jeune homme nommé Louis-Alexandre agé de 23 ans. Il admirait beaucoup une jeune artiste, chanteuse de son état qui elle, en avait à peine 21. Elle s'appelait Céline THORNHILL et faisait alors ses débuts dans la chanson.

Pour Louis-Alexandre, ce fut le coup de foudre immédiat.

Un coup de foudre musical d'abord, qui surpris tout son entourage, car il était à l'époque branché très "rock" anglo-saxon et voilà qu'il craquait pour un style différent et plus "French pop".

Un coup de foudre "de coeur" ensuite, tant il la trouvait belle et surtout attachante comme une charmeuse de serpents. C'était comme si il la connaissait depuis toujours.Il savait cependant qu'il avait peu de chances, voir aucune, de pouvoir un jour lui parler ou même de la rencontrer. Alors il garda ce secret bien au fond de lui.

Les années passèrent, Louis-Alexandre avait suivi son chemin, sans avoir oublié Céline, mais il pensait qu'elle avait cessé sa carrière et quitté le monde de la chanson et ce n'est que par hasard (mais est-ce vraiment le hasard ?) qu'il découvrit qu'il se trompait.

En fouillant dans les bacs d'un disquaire, il découvrit que, non contente de continuer à chanter et à se produire sur scène, qu'elle avait continué à enregistrer d'autres disques. Il s'est alors précipité dessus pour dévorer, tout crue, sa discographie complète.Il réussit même, comble du plaisir, à entrer en contact  et à échanger avec elle.

Imaginez, le bonheur pour lui qui n'imaginait pas que celà puisse arriver un jour. Imaginez qu'en plus d'être toujours aussi belle et envoûtante, il découvrait une personne comme il l'idéalisait, cultivée, pleine de sensibilité et de charme et qui malgré les écueils de la vie, avait gardé intact son talent et sa classe.

C'est formidable la chance, comme elle vient parfois soudainement vous rattraper ?

Tout celà réveilla en notre ami, des choses enfouies en lui depuis longtemps. Car c'est elle qui le poussa à extérioriser ces choses enterrées , à écrire, écrire encore et encore textes, chansons et poèmes. il avait compris qu'il devait le faire, absolument... avant qu'il ne soit trop tard.

Voilà la raison pour laquelle, Louis-Alexandre se pose ces questions. Vous comprenez certainement mieux pourquoi il espère un jour la rencontrer pour lui exprimer sa gratitude et son admiration, pour être juste avec elle, simplement, se sentir bien, comme il peut être lors de leurs échanges épistolaires.En espérant que sa présence lui sera, bien entendu, tout aussi agréable.

Il est des êtres, des personnes fait pour se rencontrer, quand bien même leurs milieux, leurs origines ou leurs vies soient différents. Ce qui compte, c'est le courant qui passe entre elles, rien d'autre.

Alors Louis-Alexandre attend, patiemment...derrière la porte, car quelqu'un va venir, c'est certain...quelqu'un vient toujours.

 

21/04/2009

Talk Talk "Spirit of Eden"

talk_talk-spirit_of_eden.jpgBonjour à tous !!!

De retour après quelques jours d'absence, je viens vous faire part aujourd'hui d'une très agréable découverte musicale.

En effet, mon ami Fred, amateur très éclairé et musicien lui même m'a vivement conseillé l'écoute de ce CD.

Pour moi Talk Talk, c'est plutôt de la pop new-wave des années 80 et je me souviens bien de leur titre phare "Such a shame" certes un bon morceau, mais bon voilà, pas de quoi casser trois pattes à un canard.

A l'écoute de "Spirit of Eden", stupeur !!!, on rentre dans un tout autre univers et l'on découvre une tout autre facette du talent de ce groupe. Les amateurs de rock progressif et de jazz-rock vont sans conteste, se retrouver dans leur élément.

L'album comprend six titres qui s'étirent tantôt doucement, tantôt de façon plus rythmée, mais dans une ambiance toute particulière et franchement envoûtante. Lorsqu'on découvre le nouvel album d'un artiste, en tout cas en ce qui me concerne, soit c'est le coup de coeur immédiat, soit c'est une plus longue séduction qui nécessite temps et patience. c'est le cas de "Spirit of Eden", qui intrigue, qui suscite l'interêt et qui vous entraîne ensuite  pour ne plus vous lâcher.Franchement c'est une petite pépite qu'il vous faut écouter sans hésitation.

Mark Hollis, Paul Webb et Lee Harris on sorti ce disque en 1988, ce sera malheureusement un échec commercial, malgré des critiques dithyrambiques. Suivra "Laughing stock" en 1991. Le groupe sera ensuite dissous.

06:44 Publié dans Musique | Lien permanent | Commentaires (0)

18/04/2009

Laissez vos commentaires,

encrier_et_plume.gifChers visiteurs,

Vous qui me faites l'honneur et le plaisir en vous arrêttant ici pour lire ma modeste prose et qui que vous soyez, je vous invite vivement à saisir la plume, à la tremper dans l'encrier, à m'écrire et à vous exprimer vous aussi.

Bien que sensible aux éloges, ce n'est pas la flatterie que je recherche, alors laissez vos commentaires ils sont pour moi une motivation supplémentaire pour continuer à écrire. Ne soyez pas complexés, timides, chacun à le droit à l'expression:

Cher visiteur qui en ce lieu se promène,

Laisse donc une  trace de ton passage,

Et même si ce n'est pas un poème,

Marque de ton empreinte ce modeste rivage.

17/04/2009

Dans ma poignante inquiéude.

vertigesmall.jpgLe titre de cet article, n'est pas de moi, il m'est inspiré par celui d'une encyclique du pape PIE XI qui au début des années 30, écrivait alors son inquiétude devant la montée du fascisme et de la haine raciale.

Des évènements récents, nous amènent à réfléchir et à surtout nous inquiéter. On tue, on supprime la vie de deux personnes pour une place de parking, on se bagarre et on poignarde à mort pour une moquerie idiote, on tire sur n'importe qui parce que l'on confond le virtuel et la réalité.

Dans quel monde vit-on ? Quelle est cette fange nauséabonde et visqueuse dans laquelle nous nous enfonçons tout doucement ?

L'indifférence, l'agressivité, l'intolérance et la haine sont banalisées et rien n'est fait pour enrayer tout celà L'individu se recroqueville sur lui même sans se préocuper un instant du sort de ses voisins, il ne pense qu'à lui, à son confort et est prêt à tout pour défendre "son" bien.

N'assiste t'on pas depuis plusieurs années à un conditionnement des masses ?

Qui est derrière tout celà ? Sans faire de "Bigbrotherisme" exagéré, on ne peut que constater qu'il s'agit là d'une pernicieuse forme de démagogie qui via les médias, et en particulier la télévision d'aujourd'hui, pousse les masses dans des couloirs préconstruits, dans des directions préétablies.

Nous ne sommes plus libres d'acheter un produit en dehors des périodes décidées, ce ne sont plus les foules qui font les stars ou les idoles, ce sont les médias, donc le pouvoir en place, quel qu'il soit, qui imposent nos choix.

Bien sûr, me direz vous, de temps à autre il y a des semblants de révolte, de l'agitation, des grèves...feux de pailles !!! coups d'épée dans l'eau, la peur du lendemain enraye toute envie de se battre. Où sont les ouvriers contestataires et grévistes qui avaient obtenu le droit de grève, les congés payés, l'amélioration des conditions de travail ? Où sont ils les jeunes des années 60 qui prônaient l'amour et pas la guerre, qui rêvaient d'un monde meilleur ?

Il est si aisé de tenir les masses populaires dans un climat de crise et d'insécurité tout en leur balançant de la poudre aux yeux et des paillettes dorées en promettant à une infime partie un avenir plus confortable. Le résultat malheureusement est là et bien là.

Mon discours n'est ni révolutionnaire, ni anarchiste, ni nihiliste et encore moins totalitariste, c'est juste une réflexion partie de tristes "faits divers".

La solution est en chacun de nous, dès l'instant où l'on s'ouvre un peu sur les autres et que nous n'oublions pas que nous sommes des êtres humains dotés de pensée, de sentiments, de réflexion et qu'il ne faudrait pas grand chose pour toucher du doigt une vie meilleure.

Vos commentaires, vos critiques ou vos  réflexions sont les bienvenus.

Ch.

16/04/2009

Un peu débordé par le boulot...

gaston_lagaffe.jpgSalut chers visiteurs,

Si ma productivité sur ce blog a un peu diminuée, c'est parce que mon chef me demande beaucoup de boulot et que mes journées sont dures.

Rassurez vous, j'ai quand même eu le temps de préparer des petites choses qui arrivent bientôt, encore un peu de patience...@+

13/04/2009

Un rêve presque assouvi...

Sticky Shits 1985 003.jpgC'est en 1985 que deux frères, Fred et Christophe, réalisent une partie de leur rêve secret, en tout cas, pour le second, c'est sur. Répétant et apprenant sur leurs instruments fraichement acquis, basse pour Fred et guitare rythmique pour Christophe, ils sympathisent avec deux autres mecs, Bertrand et Jacques, musiciens plus expérimentés et décident de s'associer avec eux pour le concert traditionnel du 13 juillet dans leur village.

A band is born, Fred imprégné de punk music, décide d'appeler le groupe STICKY SHITS, les autres acceptent et les influences des uns et des autres, amèneront les 4 compères à faire d'autres concerts. Ils auront même droit a un article dans le Sticky Shits 1985.jpgjournal local (voir photo). Après Sticky Shits 1985 001.jpgavoir repris des titres empruntés aux Beatles, aux Stones, à Clapton, viendront leurs premières compositions originales "You gotta learn" Sticky blues" "Hobo's wail" "Fantasy" "Talkin 'bout future" ...

Malheureusement, le groupe se séparera quelques mois plus tard .Ils ne rejoueront ensemble qu'une seule fois encore, à l'occasion d'une fête privée en 1992.

Chacun des membres a poursuivi sa route et mené sa vie. Pour trois d'entre eux, la musique continue à bercer leur quotidien, chacun à sa façon et avec ses goûts.

Il n'est pas donné à tout le monde de réaliser une partie de son rêve et ce fut mon cas, car bien entendu, le Christophe du groupe, vous l'aviez deviné, c'est moi.

Et oui !!

Depuis lâge de 10 ans et la découverte des Beatles, l'idée de faire de la scène et du rock n'roll ne m'a jamais quittée. D'ailleurs, je continue très modestement à gratter ma guitare et à composer de temps en temps, avec plus ou moins de bonheur des chansons pour mon propre plaisir.

Pourquoi pas un jour ne pas recommencer ? L'occasion ne s'est pas encore présentée et même si le crâne s'est dégarni (pas mal) et que la taille s'est arrondie (pas mal aussi) la passion est intacte et l'amour du rock est toujours aussi vivace. il le restera d'ailleurs pour toujours, c'est une évidence, c'est en moi.

Je souhaite sincèrement que chacun puisse toucher du doigt son rêve de gosse car ce fut mon cas. Et si parfois la vie est dure et âpre, j'aime à repenser à cette période où nous étions insouciants et où je rêvais de gloire, de scène et de foules immenses.

LONG LIVE ROCK !!!

Ch.

12:21 Publié dans Anecdotes | Lien permanent | Commentaires (1)