Table d'écoute ou ... ce que j'ai écouté cette semaine.

Coucou, me revoilou !!!!!!!!!!

Une nouvelle page de table d'écoute qui fut un peu écourtée elle aussi par une journée accompagnée par un collègue et une de repos forcée ce vendredi. Mais bon, tout celà, n'empêche pas d'écouter de la bonne musique.

-Si vous avez aimé l'excellent film de Martin Scorcese "The last Walz" alors je vous conseille vivement l'écoute du double album "Rock of ages" de l'excellent groupe de rock canadien The BAND. Certes l'album est plus jeune (1972) que le film sorti sorti en 1976 mais on y apprécie déjà le professionnalisme du groupe, rodé par de nombreuses tournées. Ce groupe qui a d'abord accompagné Ronnie Hawkins et s'appelait à l'époque The Hawks, tourna longtemps ensuite avec Bob Dylan. Comme ils ne réussirent pas à trouver un nouveau à leur formation, ils finirent par s'appeler The Band (le groupe). les 5 membres, Robbie Robertson,Levon Helm, Rick Danko, Richard Manuel et Garth Hudson étaient tous des musiciens accomplis jouant de nombreux instruments.Donc dans cet album, vous trouverez les titres qui ont fait leur succès au cours des seventies avec entre autres, The weight, Rag mama rag, Up on cripple creek, Stage fright ou The shape I'm in. Richard Manuel s'est suicidé et Rick Danko est mort en 1999, Levon helm atteint d'un cancer de la gorge, s'en est miraculeusement tiré et a sorti un très bel album il y a un an appelé "Dirt Farmer". Robertson, continue sa carrière en solo.

-Installez vous au volant d'une décapotable, réajustez vos lunettes de soleil, vissez bien votre chapeau sur le crane et démarrez en douceur avant de traverser les plaines de l'ouest. Mais le plus important, glissez dans le lecteur CD, le dernier JJ CALE "Roll on" et vous serez bien. Incontournable figure du blues américain, ce dernier album du "vieux" sonne comme du JJ Cale, c'est cool, çà "roll on" tout seul. 

-Il y a longtemps que je ne m'étais pas passé en boucle, l'excellent album des pierres qui roulent, "Some girls" sorti en ...1978, merde...déjà !!! Et oui, c'est le premier album des Stones que j'ai acheté et il reste à ce jour un de mes préférés. Passons sur le tube de l'époque, "Miss you" et régalez vous ave les riffs rageurs de Keith et Ronnie sur des titres avec un son très influencés par le punk (c'est l'époque) comme "Respectable" ou "When the whip comes down", dégustez le sulfureux "Some girls", certaines phrases de la chanson, nes sont pas reprises sur scène aujourd'hui. La reprise de "Just my imagination" des Temptations est bien agréable à l'oreille. le final est explosif avec le très rock "Shattered" qui même s'il n'est pas un monument, reste un morceau qui vous remue de haut en bas, si vous aimez le bon vieux Rock n' roll.  

-Pour finir cette rubrique hebdomadaire, je vous parlerai de l'album d'Ian Anderson "Rupi's dance". Si vous êtes des fans invetérés de Jethro Tull, vous vous y retrouverez sans problème dans ce CD de leur leader. Toujours aussi déchainé sur sa flûte (rappelons ici qu'il est autodidacte), ce diable d'écossais donne toujours le frisson avec sa voix et son style inimitable qui vous enchantera.

See you next week et portez vous tous très bien, oubliez vos peines et vos douleurs, la vie, c'est vrai est bien dure parfois, mais la musique reste une bonne thérapie.

@+

Ch.

                                                                                        

 

La maison de mon enfance

Je suis né à Cambrai, le 22 février 1964. Mes premiers pas je les ai fait dans la maison qu'un oncle et une tante avait prêtée a mes parents, à côté de chez mon arrière grand-mère. Rien de mieux pour illustrer ce propos que la photo ci contre où l'on m'aperçoit dans la cour de cette maison avec ma mère en arrière plan.

Le village dans lequel j'ai vécu longtemps, est planté au milieu du Cambrésis ,s'appelle BEVILLERS et compte environ 500 habitants. Quand j'ai eu 3 ans, nous sommes partis à une centaine de mètres à vol d'oiseau pour nous installer dans la maison natale de mon père, là où mon grand-père Alexandre exercait son métier de maréchal-ferrant avant sa disparition prématurée en 1962.

Cette maison, j'y ai vécu toute mon enfance et je me souviens très bien de ce à quoi elle ressemblait avant que mes parents ne fassent de gros travaux. Il y a eu l'arrivée de mon frère en décembre 1965, de mes soeurs jumelles en 1969 et enfin de la benjamine en 1971, ce qui a obligé mes parents à faire de grosses modifications. Du reste, je pense que je suis le seul de la fratrie qui se souvient de l'énorme lilas et du gros massif de fougères qui m'ont manqués quand il a fallu les faire disparaître au démarrage du "chantier".

Dans cette maison, j'ai plein de souvenirs, de jeux partagés avec mes soeurs, mon frère, avec les cousins et cousines qui venaient nous rendre visite. Je me souviens des étés ensoleillés où quand nous n'avions pas à aller faire des révisions chez la grand tante, institutrice à la retraite, nous inventions des jeux extraordinaires, nous construisions des cabanes, des tentes, des vaisseaux dans le grand jardin derrière la maison, près du poulailler.

Plus agé, c'est dans cette même maison, au dessus de "la forge" que mon frère et moi avons aménagé un grenier en "Night club". Nous y lisions, écoutions de la musique, nous y avons grillé nos premières cigarettes. C'est là aussi que nous avons gratté les premiers accords sur nos guitares électriques fraîchement achetées. A propos, la "forge", c'était l'atelier de mon père qui avait succédé à mon grand-père .Il n'y ferrait plus les chevaux bien sûr mais il y travaillait l'acier rougi par le feu pour préparer diverses formes métalliques destinées aux portes, portails ou marquises qu'il fabriquait à l'époque.

Je suis ensuite parti vivre à Lille, puis en région parisienne, je me suis marié puis je suis revenu dans la métropole Lilloise. Mon frère et ma plus jeune soeur sont partis à Angoulème, une des jumelles vit à Villeneuve d'Ascq et l'autre est restée dans le Cambrésis.

la maison est devenue trop grande, mes parents ont vieilli et on décidé il y a trois ans de la revendre pour s'installer dans du plus petit. J'ai respecté leur décision, mais il m'arrive de repasser (exprès) dans notre village pour revoir ces endroits où j'ai tant de souvenirs. Je vais même au cimetière pour me souvenir des gens de mon enfance qui ont disparu, pour certains, depuis longtemps (ne riez pas, j'ai toujours aimé fréquenter les cimetières).

C'est vrai, lors de mes passages là bas, je repense au passé et mes yeux se mouillent. Je n'y peut rien, je suis comme çà, je suis un brin nostalgique. mais la vie est ainsi faite et malheureusement, nous n'avons pas toujours le choix . Il reste néanmoins une chose que rien ni personne ne peut nous enlever, c'est la malle aux souvenirs que l'on transporte toute notre vie et qu'il est agréable d'ouvrir de temps en temps pour notre plus grand plaisir.

 

Pensées sombres et nocturnes

J'ai mal, la douleur qui me vrille parfois le bas du dos est revenue, ça m'a réveillé mais je souffre moins assis sur ma chaise de bureau. C'est là que galopent les pensées...Que ce serait bien parfois de ne pas être envahi dans sa tête par toutes ces idées noires, parfois j'aimerais moins réfléchir, être bête.

N'y voyez ni prétention, ni supériorité dans mes propos, c'est juste qu'il y a des moments où l'on aimerait pouvoir vivre comme certains êtres qui ne sont pas doués de pensée, celà éviterai de se miner la tête ou de se morfondre...

...Celà éviterai ces pensées sombres et nocturnes.

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Le vide et le silence,

La solitude et l'absence,

L'incompréhension et l'ignorance,

Un sentiment de vide,

Une sensation d'écrasement,

Le manque qui fait mal,

Les questions que l'on se pose,

L'esprit que l'on torture,

Le pourquoi du comment.

Ce serait si simple pourtant,

D'effacer ces douleurs,

De gommer ces souffrances,

Comme ça, d'un trait.

Mais c'est trop difficile,

Cesser de penser ?

Arrêter de réfléchir ?

Revenir en arrière ?

Replonger dans l'enfance,

Baigner dans l'insouciance.

Mais c'est trop compliqué,

On ne peut rien effacer,

Impossible d'oublier,

De se recroqueviller,

Et de chasser ces pensées,

Sombres et nocturnes.

Troubles

Je vous livre ici un poème que j'ai écrit il y a presque deux mois. Pourquoi ne pas l'avoir publié plus tôt ? c'est simple, comme un sculpteur, j'en ai d'abord trouvé l'idée, j'ai ensuite jeté les premières bases et fini le tout.

Par contre à la différence de certains autres textes que j'ai pu écrire, sur celui là, je suis revenu plusieurs fois, je l'ai fignolé, ciselé. J'ai changé des mots, bougé des phrases. En bref, j'ai pris le temps pour essayer d'être le plus satisfait possible.

Il y a 3 mois, je ne pensais pas écrire ce genre de choses. Mille mercis à toi qui m'a tant inspiré et qui se reconnaîtra.

 

Je voudrais te prendre dans mes bras

Sentir ton corps tout contre moi,

Ta tête blottie contre mon épaule,

Pendant que nos mains se frôlent.

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T'effleurer le bout des doigts,

Me baigner dans le son de ta voix

Humer l'odeur de tes cheveux,

L'espace d'un instant rien qu'un peu.

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Un trouble enivrant m'envahit,

Comme un long serpent infini,

Il s'insinue peu à peu en moi

Comme la fumée qui sort d'un toit.

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Mon coeur cogne à en faire mal,

Effrayé comme un jeune animal,

Un tremblement me parcours tout entier,

Je frémis comme un nouveau né.

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Plus rien ne compte autour de nous,

Dans son noir manteau qui nous dissout,

La nuit peu à peu nous envahit,

Rien que toi et moi à l'infini...

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Avec ou sans les bulles ?

Hello les bédéphiles ou pire, les bédéphages !!!

Je viens de découvrir une nouvelle série, prise au hasard parmi les nombreuses que nous popose l'excellente médiathèque d'Armentières, celà sans flatterie exagérée.

Il s'agit de "Les nouveauxTsars" de Jean-Yves Delitte qui comporte quatre tomes parus à ce jour (le dernier en 2007):

-La chasse est ouverte

-L'effet Blast

-Les fous de Bakou

-Révolution, révolution

Ben mes aîeux, ça déménage, on est plongé au coeur de ce qu'est devenu aujourd'hui l'ex bloc soviétique. On croise des président véreux, des ministres corrompus, des terroristes Tchétchène, des contrôleurs occidentaux et quelques innocents qui souvent payent de leur vie le fait d'être présent là où il ne faut pas.

Ça flingue pas mal, ça explose aussi beaucoup, ça torture parfois, et souvent sans états d'âme. Une belle illustration de ce que sont aujourd'hui tous ces pays issus de l'explosion de l'U.R.S.S. C'est très bien dessiné, très réaliste mais il faut bien suivre tant les intrigues sont tordues et les personnages nombreux.

N'hésitez pas à vous plonger si vous le pouvez au coeur de ces 4 tomes, ça vaut le détour.

Asta la vista babies !!!

Au fil des mots: "Voyage au bout de la nuit"

Bonjour chers visiteurs,

Voilà donc le premier chapitre de ma nouvelle rubrique "Au fil des mots" consacrée à une oeuvre considérée comme majeure par les spécialistes littéraires.

Qu'est ce qui m'a poussé à "m'attaquer" à "Voyage au bout de la nuit" de CELINE, livre qui fait partie des romans les plus importants du 20 ème siècle, moi seul le sait. Sans doute l'influence de personnes cultivées et boulimiques de lecture tant il est vrai que ce genre de livre n'est pas mon style habituel de roman (voir article précédent).

Donc, ce livre, j'en ai achevé la lecture il y a quelques semaines, j'ai été impressionné, retourné et dérouté. Honnêtement, on ne peut pas lire cet ouvrage et en ressortir indemne, à moins d'être totalement passé à côté de l'histoire. C'est vrai que c'est un peu "décalé",  que le style et certains mots appartiennent à une autre époque, dans une période de l'histoire qui est celle de nos grands parents et que l'ambiance du livre est tout à fait particulière. Cependant, quel voyage!!!! au bout de la nuit bien sûr, mais aussi des angoisses, des peurs et de l'âme humaine.

L'auteur nous emmène donc au long de son voyage dans les tréfonds de l'âme humaine aux côtés souvent sombres et cyniques. Ainsi au travers de l'enrôlement de son héros Ferdinand Bardamu, comme simple soldat lors de la première guerre mondiale, on pénètre au coeur de la bêtise humaine et de la grande boucherie du début du siècle. Vous avez dit antimilitariste ? oui bien sur, surtout lorsque le héros déserte et part pour l'Afrique. Seconde partie du voyage où l'auteur ne se gêne pas pour violemment critiquer le colonialisme alors à son apogée (celà rappelle Hergé et sa vision bien particulière du monde africain).

Fini l'Afrique, on traverse l'Atlantique pour découvrir New-York et les Etats-Unis au début de l'ère industrielle, en plein Taylorisme. On y fait la connaissance d'une jeune femme attachante mais que Ferdinand laissera pour retourner à Paris.

En effet, on revient dans la capitale et ses alentours où le "héros" du livre devenu médecin tente de survivre au milieu d'une populace dont les personnages sont souvent sinistres. On baigne dans une atmosphère de mesquinerie, de haine, de mort, de misère, de cupidité et de lacheté. Ferdinand est un anti-héros moitié anarchiste à l'esprit torturé.

C'est la première fois que j'ai été confronté à une telle densité de mots, la moindre distraction n'est pas permise, un instant d'égarement vous fait perdre le fil. C'est impressionnant et je le dis sans honte, la lecture est parfois ardue et déroutante.

Je n'ai pas fait d'étude littéraires et parfois je le regrette, je suis encore moins "critique". Ce que je viens de vous écrire sur cette oeuvre, je l'ai fait en toute simplicité et très modestement. C'est juste avec mes mots, le sentiment, l'impression qui ont été les miens au travers de ma lecture.

J'ai aimé le livre, mais je préfère un style résolument plus moderne, c'est le cas du prochain livre dont je vous parlerai, "De sang froid" de Truman Capote.

A bientôt amis lecteurs et rappelez vous que les commentaires servent aussi à vous exprimer, vous avez le droit de dire ce que vous pensez, même si vous n'êtes pas d'accord avec moi.

Bonne journée et bonnes lectures.

Table d'écoute ou ... ce que j'ai écouté cette semaine.

Chôse promise, chôse due, malgré une petite semaine de travail, j'assume et vous parle de ce que j'ai pu écouter on the road these last days.

-J'ai découvert un double album de Joe Cocker, on y trouve tout ses plus grands standards, de "With a little help from my friends" à "Summer in the city en passant par "The letter" ou "Night calls" sans oublier le célèbre "You can leave your hat on". Ce double album s'appelle simplement "The ultimate collection". c'est avec plaisir qu'on réécoute la voix rauque et puissante de celui qui fut un des héros de Woodstock en 1969.

-Récemment, j'ai découvert le talentueux Nick Drake, talentueux chanteur et multi-musicien, bien trop tôt disparu  26 ans, en novembre 1974. C'est son tout premier album que j'ai écouté "Five leaves left". Un pur bonheur, une voix douce, une musique apaisante, c'est du folk britannique vraiment séduisant. Ce garçon, malheureux et dépressif toute sa vie, aura malgré son court passage sur terre ,influencé bon nombre d'artistes. Dommage que son succès n'est venu que post-mortem. A découvrir absolument !!!

-King Crimson, encore !!! Oui, c'est vrai, je vous en ai déjà parlé dans le précédent "Table d'écoute". Il s'agit ici de vous parler de l'excellent "Starless and bible back", une pure merveille de rock progressif, un de mes albums préférés. La voix chaude et modulée de John Wetton excellent bassiste de surcroît, le beat si particulier de Bill Bruford dont la peau de caisse claire est tellement tendue qu'elle claque de ce son qui lui est si particulier, le violon de David Cross langoureux, plaintif et parfois agressif et bien sûr le jeu de guitare si spécifique de Robert Fripp qui alterne les riffs puissants et les solos mélodieux, tout celà nous donne un album majestueux. Attention, il faut vraiment être branché "progressif" pour aimer cet album.

-Je me suis fait également en boucle, les indispensables "Rubbersoul" et "Revolver" des Beatles, pour lesquels il n'y a rien à redire tellement tout a été dit, redit, écrit et réécrit. Deux purs joyaux qui témoignent parfaitement de la rapide évolution musicale des Beatles. On découvre également les premiers grands titres de George et ses premiers tâtonnements au cithare indien. On connait tellement ces deux disques que  morceau se termine, on fredonne déjà le début du suivant.

-Pour terminer, un album de ma chanteuse préférée à la voix si envoutante, Jil caplan bien sûr. C'est son album " Toute crue" sorti en 2001, que j'ai écouté en démarrant la semaine. J'adore en particulier le titre d'ouverture "Le lac", j'aime "La maison abandonnée" "Le bel innocent" ou "Chut". On reconnait dans cet album, "la patte" de JP Nataf (ex-Innocent)son ami de toujours qui a réalisé cet album pour elle. Je n'en dis pas plus, certains (ils se reconnaîtront) me reprocheront d'avoir du parti pris (m'en fous, na !!!).

Ben ma foi, pour 3 jours, y'en avait quand même à raconter non ?

Bon long week-end pour ceux qui font le "pont" et bon courage aux bosseurs.

Portez vous bien, à la semaine prochaine.

Oncle Rock.

Au fil des mots...

Bonjour chers visiteurs, amis connus ou inconnus,

J'aime lire, c'est avec la musique et le cinéma, une de mes passions. Je suis un boulimique de "policiers", j'ai depuis l'âge de 10 ans, dévoré les Sherlock Holmes, Arsène Lupin, des dizaines et des dizaines d'Agatha Christie ainsi que des écrivains plus contemporains, Elizabeth George,Maud Tabachnik,Maxime Chattam, John Grisham, Jeff Abbott,Richard Montanari etc...

Notre excellente bibliothèque locale, devenue médiathèque, nous offre une variété et un choix de styles très varié, ce qui me permet de temps à autre de découvrir des oeuvres plus politiques ou engagées.

J'adore aussi la bande dessinnée. Jeune, alors que nous allions chez notre grand-mère pour les vacances, mon frère et moi découvrions dans le grenier, des piles de magazines que nos oncles avaient laissés et en particulier des numéros de Spirou ou Tintin datant des années 60. Malheureusement, certaines ces collections étant incomplètes, il arrivait souvent que nous ne pouvions connaître la fin des histoires. Quelques années plus tard, alors financièrement plus autonome, j'ai pu combler ce manque et me constituer une belle collection de "BD" qui fait aujourd'hui le plaisir de mes enfants (et toujours le mien).

Les quelques mots que je viens d'écrire, me permettent d'introduire cette nouvelle rubrique que j'ai appelée "Au fil des mots..." et dans laquelle je vous ferais part non pas de la critique de tel ou tel livre, mais plus de mon impression générale et de ce qu'à été mon ressenti de l'oeuvre. Ce ne sera pas forcément systématique par rapport au livre lu du moment, ce sera également au gré de mon inspiration et de mon envie.

Vive les livres, vive les phrases, vive la ponctuation, vive les mots !!!

Accroche toi !!!

La vie ressemble à un vieil arbre,

Avec ses branches frêles et cassantes,

On ne peut pas rester de marbre,

Car elle est tellement exigeante.

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Pour quelques instants de bonheur,

Le prix est bien lourd à payer,

Les pleurs les larmes et la douleur,

Sans cesse il nous faut lutter,

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Souvent elle nous parait injuste,

Elle nous frappe, sournoise et lâche,

C'est là qu'il faut rester robuste,

Lui résister avec panache.

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Si une branche vient à céder,

Si l'on a envie de tomber,

Il faut surtout bien s'accrocher,

Se battre et ne rien lâcher.

Table d'écoute ou ... ce que j'ai écouté cette semaine.

Salut à tous, le petit rendez vous de la semaine où modestement, je vous parle de ce que j'ai écouté.

L'avantage de mon métier de commercial, comme je fais parfois de longues distances, c'est de pouvoir écouter la musique que j'aime. Soit mes propres CDs soit la radio, pour ceux qui peuvent la capter, je conseille vivement aux amateurs de pop-rock, la fantastique radio belge, Classic 21 (104.6 dans le nord) on y écoute de la très bonne zique.

-Lynyrd Skynyrd (LYVE et One more from the road) deux époques différentes du groupe mais la même pêche, la même énergie et ce son bien rock sudiste comme je l'aime. Je sortirais bientôt un article sur ce groupe pour ceux qui ne le connaissent pas.

-Je me suis faite une "Compil" en 3 volumes que j'ai appelée "Favourite songs" dans laquelle j'ai mis des singles que j'ai aimés tout au long de ces années passées.Tout y passe, Lou Reed, David Bowie, Huey lewis, UFO, Sam Brown, Stranglers, Procol Harum, Free, Guess who en passant par des singles pour lesquels j'avais eu des coups de coeur et dont j'avais acheté le "45 tours" à leur sortie, Soup Dragons "Free" ,Honk Kong Syndikat "Concrete and the clay", Captain Sensible "Wot" etc..., c'est cool, agréable, varié et ça rappelle de bons souvenirs.

-Une autre "compil" que je me suis faite pour écouter en roulant, un patchwork de titres d'un des plus grands groupe de rock progressif, KING CRIMSON, de "In the court of the Crimson KIng" à "One time" en passant par "One more red nigtmare" ou "Starless", bref, que du très bon avec des voix qui changent suivant les années (John Wetton ou Adrian Belew par exemple) mais toujours avec le pilier du groupe, le fantastique et énigmatique guitariste Robert Fripp.

A la semaine prochaine peut être, car elle sera un peu plus courte, mais bon, je tacherais d'assurer la rubrique en bon rédac en chef que je suis.

Excellent week-end à tous !!!

Ch.