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27/11/2009

Mes origines: le village de mon enfance (épisode 3)

Ma première école.JPGA l'entrée, au début de l'allée, il y avait autrefois une grosse porte métallique, pas lourde, mais imposante.

Le bâtiment juste à droite dans l'allée, c'était le logements des instituteurs.

Au fond, on distingue le préau et le bâtiment de deux étages dans lequel se trouvait les classes, une à chaque étage. Il faut dire qu'à l'époque, nous étions nombreux et que dans mon village, il y avait même deux écoles, celle des grands et celle des petits. C'est la seconde que vous pouvez découvrir sur la photo.

C'est dans ce batiment qui à l'époque était l'école communale que j'ai fait mon apprentissage scolaire. C'était le temps où nous allions en culottes courtes apprendre à écrire à la plume comme je vous l'ai raconté cet été. C'était du temps où les villages "vivaient" et n'étaient pas devenus des "dortoirs".

Je laisse vagabonder ma pensée et des souvenirs me reviennent en pagaille . Les "maitresses" avec leur tenues des années 70, leurs grandes lunettes d'écaille et leur coiffures d'époque...les tabliers que nous devions porter en classe...les premiers amours platoniques...des filles de notre âge, mais aussi des institutrices remplaçantes. Je me souviens encore de là fois où cette jeune et belle femme venue passer quelques mois en remplacement, m'a embrassé pour me féliciter d'avoir été élu "président" de la classe. Impossible de me rappeler de son nom, mais je revois presque nettement la scène.

L'école a finie par être fermée. Quelques années plus tard, ces bâtiments ont été utilisés comme bibliothèque, salle d'informatique et salle de répétition (c'est dans la salle du 1er étage du bâtiment du fond qu'avec mon frère et mes potes nous avons créé notre groupe de rock). Il y avait encore une vie dans ces locaux, une vie culturelle, c'était bien, c'était dans les années 80

Aujourd'hui, il semble que ces batiments soient vides et abandonnés. Peut être finiront ils par être rénovés et revendus comme logements.

Quoi qu'il en soit, si vous passez par là, arrêtez vous et fermez les yeux, vous entendrez une bande de gosses vociférer dans la cour au moment de la récréation...vous verrez un petit rouquin courir en jouant aux cow-boys et aux indiens ignorant qu'un jour il raconterait tout celà.

 

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20/11/2009

Mes origines: le village de mon enfance (épisode 2)

La maison où j'ai vécu de 3 à 25 ans.JPGVoici la fameuse maison que mes parents ont vendue il y a bientôt quatre ans. C'est celle ou j'ai passé une grande partie de ma vie, mon enfance, mon adolescence et j'y faisais des retours hebdomadaires même quand je travaillais en région parisienne et ce jusqu'en 1991, l'année ou j'ai connu ma future épouse.

Seule la grille a changée et des volets on été installés aux fenêtres de l'étage, sinon tout est identique vu de l'extérieur.

Il faut savoir que mon père est né dans cette maison en 1935 et qu'il a succédé à mon arrière grand-père et à mon grand-père à la forge (voir note du 17 juillet).

Lorsque j'étais tout jeune (vers 8/9 ans) la partie avancée sans étage en brique n'existait pas. A l'endroit de la première fenêtre (a gauche de la voiture) c'était un grand parterre de cailloux entouré d'un muret avec des fougères et un grand lilas.

A la seconde fenêtre (a droite de la voiture) ce qui a été notre chambre a mon frère et moi était avant ma naissance le magasin de quincaillerie que tenait ma grand-mère. Je l'ai connu vide et rempli de bric à brac avant de devenir tel que vous le voyez sur la photo.

J'ai des dizaines de souvenirs dans cette maison et la liste serait trop longue pour les raconter, il faudrait plusieurs pages. peut être qu'un jour je me déciderai à les raconter en les écrivant.

Il m'arrive de passer dans la région pour le boulot et je fais un crochet exprès par Bevillers (c'est le nom du village) pour juste traverser et revoir. Chaque fois et en particulier devant cette maison, c'est une énorme bouffée de nostalgie qui m'envahit et une vague de souvenirs qui me revient en mémoire.

Ah, la maison de notre enfance, je pense que certains d'entre vous me comprendront, surtout ceux qui ne peuvent plus comme moi y retourner, là ou on a laissé des tonnes de souvenirs.

Pour vous laisser une trace en noir et blanc comme pour le premier volet, la photo ci-dessousa été prise dans la cuisine, à l'arrière de la maison et on m'y voie à 16 ans, avec ma soeur Anne et ma mère.Dans la cuisine, avec ma mère et ma soeur Anne.jpg

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13/11/2009

L'automne, ses couleurs, ses odeurs

A Crespin.JPGCette photo fait partie de celles que je prends dans la journée au cours de mes journées de travail. Mon métier de commercial me permet de voir beaucoup d'endroits différents et d'apprécier de beaux endroits ou des choses parfois insolites.

L'automne est une période propice car elle est riche en couleurs: ocre, brun, jaune, or, rouge se côtoient sur les feuilles des arbres et donnent aux paysages ces aspects magiques et magnifiques.

Lorsque l'on s'arrête et que l'on peut humer les odeurs, la période est également riche car l'humidité et les sols recouverts de feuilles mortes nous renvoient ces parfums si particuliers à l'automne.

Tout celà me amène également des années en arrière, alors qu'écolier sur les bancs de la communale, cette période était synonyme de rentrée scolaire avec l'étude des différentes feuilles d'arbres, la conception des herbiers. On étudiait également les champignons très prolifiques à ce moment de de l'année. On apprenait de belles choses en ces temps là.

Je me souviens aussi, qu'habitant un petit village du Cambrésis, nous étions entourés de pâtures (prés) où à ce moment de l'année on trouvait des champignons blancs aux lamelles rosées. Nous partions avec un sac  pour les dénicher. Le summum était de se faire un copain qui connaissait les bons coins. Hummm, je me souviens de cet instant magique lorsque ma mère préparait l'omelette avec notre récolte et des odeurs qui embaumaient la cuisine. Souvenirs d'une époque qui semble bien loin. Mais comme il est bon de se remémorer ces instants simples mais magiques.

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09/11/2009

Mes origines: le village de mon enfance

la maison dans laquelle j'ai fait mes premiers pas.JPGJ'ai décidé, si celà vous intéresse, de vous emmener sur les traces de mon enfance et de ma jeunesse. On va commencer par mon arrivée en 1964, un samedi 22 février.

Je suis retourné à Cambrai pour voir la maternité dans laquelle je suis né, mais elle n'existe plus et est aujourd'hui transformé en hôtel...de police.

Pour vous parler de mes premiers pas, c'est dans cette maison que je les ai faits. Mes parents louaient cette maison à un oncle et une tante de mon père (Etienne et Zélie). C'est aussi là que vivait encore mon arrière grand-mère et où ma grand-mère Mariette et ses quatre soeurs étaient nées.

J'ai vécu trois ans dans cette maison et ce n'est que très récemment que la façade a été remise à neuf, vraisemblablement par les nouveaux propriétaires, mais à part les couleurs, rien n'a vraiment changé et je crois bien que je dormais dans la chambre de droite (la fenêtre "chien assis" à l'étage).

Sinon c'est là que de 1964 à 1967, j'ai passé mes premières heures. Par la suite, ma grand-mère y a habitée, ma grand-tante et mon grand-oncle ensuite. Des années plus tard c'est un copain d'enfance qui l'a à son tour occupée avec sa femme, ce qui m'a permis de la revoir presque 22 ans plus tard.

La photo ci-dessous a été prise si je ne m'abuse dans la pièce qui se trouve au rez de chaussée à gauche de la porte. L'aile droite étant Mes parents et moi, 1965.jpgoccupée par mon arrière grand-mère à cette époque.

 La "bouboule" c'est moi, avec ma mère et mon père en 1965.

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19/10/2009

Gilles Verlant: "FOLLLIES"

Gilles Verlant.jpgCe sympathique garçon, tout souriant et passionné, c'est Gilles VERLANT que là plupart d'entre vous connaissent puisqu'il officie sur France Bleu et qu'il a également travaillé pour Canal +.

La partie de sa carrière dont je veux vous parler et pour laquelle je souhaite lui rendre hommage c'est celle ou ce garçon originaire de notre voisine  Belgique, a travaillé à la RTBF et notamment dans une émission TV qui passait le samedi soir et qui avait pour titre "Folllies" (oui, oui, avec trois "L" n'est ce pas Gilles ?)

Dans notre campagne du Cambrésis, grâce à une antenne hertzienne plus importante, nous réussissions à capter les chaines belges. Mon père y tenait car chaque samedi soir, la RTBF diffusait un western ou un polar des années 50/60.

Mon frère et moi venions d'avoir respectivement 14 et 15 ans lorsque nous avons découvert cette émission qu'animait avec énergie et passion notre ami Gilles. En effet "Folllies" était une vrai émission pour les amateurs de Pop/Rock et là, j'ouvre une parenthèse pour tirer un coup de chapeau à nos amis belges chez qui cette musique est très à l'honneur que ce soit à la TV, à la radio ou dans les concerts.

Pour revenir à "Folllies", c'était devenu pour Fred et moi, le rendez-vous incontournable du samedi soir. Je me souviens y avoir découvert Dire-Straits alors tout jeune groupe interprétant "Sultans of swing", Peter GABRIEL dans son clip "Games without frontiers"  Kevin Godley et Lol Creme (ex TEN CC) dans leur clip "An englishman in New-York". Dans cette émission, on a découvert bien avant la folie Madness, des groupes comme The Spécials ou The Selecter à l'époque du renouveau du Ska. Bref, je pourrais vous citer des tonnes d'autres artistes que nous avons découvert dans cette émisssion. En France quelque temps plus tard, il y aura l'excellent Antoine De Caunes pour qu'on voit enfin du rock à la télé.

Le terrain était il est vrai propice, mon frère et moi, même si chacun a pris des orientations différentes étions, sommes et resterons des passionnés, des dingues de musique jusqu'à notre dernier souffle. Mais un super mec comme Gilles Verlant nous a aidé à rendre cette passion plus acharnée. Cette passion inextinguible, il l'a lui aussi et ce gars là, pour moi est un vrai, un pur.

Alors tout simplement, cher Gilles, je tenais à te rendre ce petit hommage simple mais sincère et pour terminer mon propos, je ne dirais que ces quelques mots:

"Long live rock !!!"

Christophe.

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23/09/2009

Le gouter après l'école

Lorsque j'étais enfant, la tradition immuable, était le goûter. Aux environs de 17 heures, sur la table de la cuisine, ma mère nous avait préparé sur la table de la cuisine, de quoi assouvir notre faim et notre gourmandise.

Nous n'avions que très rarement des gâteaux où des biscuits. Le goûter traditionnel, se composait de grandes tartines de pain sur lesquelles nous mettions de la confiture (maison bien sûr, car mes deux grands-mères en confectionnaient régulièrement) mais aussi de la cassonade. Sur une tartine beurrée, rien de mieux que de la saupoudrer de ces cristaux dorés ou bruns selon que la cassonade est blonde ou brune, hummm, en vous l'écrivant, le gout me revient avec une bouffée de souvenirs.

Et puis il y avait, de temps à autre, le goûter royal: le PASTADOR. Cette pâte à tartiner au chocolat avait un goût incomparable. Rien à voir avec celui que nos enfants connaissent aujourd'hui. Là aussi, à vous en parler, l'odeur et le goût me reviennent immédiatement. Quel délice.

Ce pastador_Ludo.jpgproduit a depuis longtemps disparu du marché et a été supplanté par d'autres que tous les enfants d'aujourd'hui connaissent. Mais je n'ai jamais retrouvé la saveur et le parfum de cette délicieuse pâte à tartiner, notre Pastador.

Ah, les parfums, les odeurs de notre enfance. Parfois on aurait envie de les retrouver, ne serait ce que pour se replonger, l'espace de quelques instants, dans ces moments d'insouciance.

Peut être vous aussi, vous avez connu ces gouters, peut etre vous aussi, vous vous êtes régalés avec le Pastador. Si vous l'aviez oublié, j'éspère que ce que j'ai écris ici, vous a transporté dans vos souvenirs et si c'est le cas...bon voyage !!!

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20/09/2009

Tania, mon gros bouldou...

Tania, devant le poullailer.jpgTania, si je me souviens bien, c'est moi qui avait trouvé son nom...

A la maison, ma mère avait toujours refusé d'avoir un animal de compagnie. Elle détestait les chats et ne voulait pas de chien dans sa maison. L'avantage, c'est qu'à cette époque nous habitions une maison avec un très grand jardin derrière et une grande cour devant, ce qui était plus facile pour accueillir un représentant de la race canine. Je ne sais pas pourquoi, cette fois là elle a dit oui, peut être est ce mon père qui a insisté, toujours est il que Tania, une chienne Drathaar, a débarqué dans notre maison et notre vie.

Je travaillais déjà à l'époque et passais la semaine à Lille pour ne revenir que le week-end. Une semaine après son arrivée, alors que je rentrais le vendredi soir, à la vue de la voiture, elle s'est mise à aboyer mais aussitôt qu'elle m'a reconnu, elle s'est mise à japper de joie, c'était le premier accueil chaleureux du week-end, et c'est devenu rituel.

La seule chose qu'elle n'acceptait pas c'est que l'on s'approche lorsqu'elle avait un os à ronger. Elle grognait, juste pour vous faire comprendre qu'il fallait la laisser tranquille. Jamais elle n'a mordu quelqu'un et elle était très câline. Je l'avais surnommée "mon gros bouldou". On a même passé des vacances ensemble lorsque mes parents étaient une fois parti quinze jours avec mes frangines et que mon frère était sous les drapeaux, Tania et moi gardions la maison pendant l'été. Elle a fini par faire partie de la maison et même si ma mère n'acceptait que très rarement qu'elle rentre dans la maison, elle avait une grande niche très confortable et elle a vécu une vie heureuse.

Celà fait des années maintenant qu'elle n'est plus là, il me reste cette photo, pas très bien cadrée alors qu'elle court le long du poulailler. La particularité de cette race, c'est d'avoir de la "barbe" et je me souviens bien, je sens encore sa tête se poser sur mes genoux et ma main caresser sa tête dessus et dessous. Je ne peux m'empêcher d'avoir une boule dans la gorge en y repensant, mais je sais qu'elle continue à courir, comme une folle, quelque part, au paradis des chiens.

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13/09/2009

Des glaces pour les poules...

cornet-creme-glacee.jpgCet été, j'ai offert à mon épouse et mes enfants de délicieux cornets de crème glacée, c'est alors que m'est revenu un souvenir qui date de mes 12 ans je crois.

J'avais pris l'habitude de mettre de côté dans une boite en plastique grise, les pièces de monnaie que j'avais pu récolter et j'étais, c'est vrai, un garçon gourmand. Chaque dimanche, dans le village où j'habitais, aux environs de 12h/12h30, on entendait le joli carillon des cloches qui annonçait l'arrivée de la camionette du marchand de glaces.

Malgré mes demandes répétées, mes parents ne cédaient pas et il est vrai que ce marchand, passait toujours avant que l'on se mette à table.

Un jour cependant, j'ai bravé l'interdit et je suis allé acheter un cornet à 3 boules, hummmm, j'en salivais déjà. Ce que je n'avais pas prévu, c'est que je me ferais repérer. Aïe, aïe, aïe !!!

Mon père ne s'est pas mis en colère, il m'a pris des mains le cornet de crème glacée et est aller jusqu'au poulailler. Il faut savoir que dans nos villages du Cambrésis et du Nord en général, la plupart des gens possèdent des poules en élevage. Mon père en avait beaucoup, ainsi que des canards, des oies,des pintades,des dindes et dindons,des pigeons,des lapins aussi. On a même eu un mouton.

Donc il ouvre la porte de l'enclos à côté duquel se trouve le tas de fumier et il jette le cornet dessus. Aussitôt, toutes les poules se ruent dessus et lui font rapidement un sort. Je vous laisse imaginer mon désarroi. Pire, mes soeurs et mon frère riaient sous cape pendant le repas qui a suivi. Pire encore, dans les mois qui ont suivis, chaque dimanche lorsque l'on entendait le carillon du marchand de glace, toute la famille me disait "Christophe...les poules !!!"

C'est ainsi que des poules rousses ont un jour eu un dessert de choix. Le pire c'est qu'elles ne l'ont même pas aprrécié.

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05/08/2009

Les cols "pelle à tarte"

col pelle à tarte.jpgHello friends !!!

Une petite chose qui me revient d'un coup. Certains d'entre vous ont peut être déjà vécu cette situation, celle d'avoir des tantes ou des oncles très cools qui vous ont refilés leurs fringues, pour d'en débarasser mais aussi parfois pour rendre service.

Ce fut mon cas au milieu des années 70, précisément en 1974/1975, l'année où je suis rentré au collège, en 6ème. Le plus jeune frère de ma mère, nous avait généreusement donné des vêtements qu'il ne portait plus et en particulier ses chemises. Le problème c'est que ces dites chemises avaient un col immense dit "pelle à tarte" et que la nouvelle tendance à l'époque était le col court, plutôt "grand-père".

Aujourd'hui, tout celà me fait sourire, surtout quand on se souvient qu'à l'époque la mode était aussi aux sous-pulls de couleurs diverses et aux chaussures à gros talons et à bouts ronds à la Gary Glitter...quelle horreur !!! Cependant lorsque vous avez 10 ans et que vous pénétrez dans le monde de la "grande école", vous commencez à sentir les différences sociales et on se charge de vous le faire savoir. Et oui, ça démarre par les fringues et vos congénères se font un plaisir de vous faire remarquer que vous n'êtes pas du tout "à la mode" avec vos chemises et leurs cols avec lesquels vous pourriez aisément pagayer.

Quelle connerie tout ça, surtout lorsqu'en prenant de l'âge on se rend compte que tout celà est cyclique. Mais ne nous trompons pas, chez certains "adultes", cette attitude existe toujours. Tiens, il y a 4 ans, des collègues ont souri de mes noeuds de cravate trop ...fins, le noeud de cravate "devant" être assez volumineux... RAF !!!

La vie n'est qu'un éternel recommencement, la nature humaine est loin d'être parfaite, souvent cynique et les moqueries et railleries commencent très tôt avec le physique (les fringues en font partie). Le tout est de réussir à passer outre, mais ce n'est pas toujours facile et il y aura toujours des individus de cet acabit. Que voulez vous, comme disait très justement Georges Brassens, "Quand on est con, on est con".

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26/07/2009

When I was a young boy, at the age of...

13 juillet 1990.jpg...26.

Je viens de retrouver cette photo en rangeant un tiroir. Encore un moment dont je me souviens parfaitement alors qu'il y a 19 ans de celà.

5 ans après notre premier concert du 13 juillet 1985, les potes sont en train de jouer sur scène. Je suis parti à Paris depuis plusieurs mois et je n'ai pas eu le temps de faire les "répets" avec eux, raison pour laquelle je ne participe pas à leur prestation.

Alors je leur donne un coup de main à la sono et comme assistant de scène pour parer aux petits incidents. D'ailleurs il y en a eu un, mon frère Fred à la batterie a traversé la peau de sa grosse caisse avec la pédale. Pendant qu'il continuair à jouer, j'ai fait une répararation de fortune avec du ruban adhésif d'emballage.

Je me souviens parfaitement que j'étais bien, qu'il y avait un petit vent doux et agréable sous le soleil couchant de juillet. Un bon souvenir pour moi et l'occasion de faire sourire les gens qui ne m'ont pas connu autrement qu'avec la barbe et quelques kilos de plus.

Bon dimanche à toutes et tous,

Ch.

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