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04/04/2010

"Concert for George"

j5b3nt.jpgTe souviens tu chère Valentine que nous en avions parlé il y a un an et que tu m'avais vivement conseillé ce DVD "Concert for George", hommage vibrant de sa famille et de ses amis, un an après sa mort.

Je l'ai regardé et réécouté à nouveau cette semaine avec le même plaisir et la même émotion que la première fois.

Le DVD a été produit par Olivia Harrison et Ray Cooper, le concert par Jeff Lynne avec comme directeur musical Eric Clapton, tout est dit.

Cette soirée hommage au Royal Albert Hall a conservé toute son émotion, d'abord avec la musique que George aimait tant, la musique indienne avec Ravi Shankar et sa fille. On aime ou non mais il faut reconnaître que c'est du costaud. Ensuite avec une belle tranche pleine d'humour et les inévitables Monty Pythons dans leurs délirants sketchs "Sit on my face" et "Lumberjack". George les avait remarqués dès leurs débuts à la BBC et avait produit leurs films. Sympa...très sympa...et très drôle.

La troisième partie du film, c'est le "George band" avec là, Mesdames et Messieurs un feu d'artifice, on en prend plein les mirettes. Eric Clapton bien sûr, avec Jeff Lynne mais aussi Gary Brooker, Andy Fairweather Low, Ray Cooper, Jim Capaldi, Jim Keltner, Billy Preston,  Jools Holland, Sam brown mais aussi Tom Scott, Jim Horn, Albert Lee, Marc mann, Henry Spinetti, Klaus Voorman, Chris Stainton ainsi que les deux choristes de George, Katie Kisson et Tessa Niles. Et puis discrètement, comme son père l'était, Dnani Harrison est sur scène avec sa guitare.

A tous ces noms prestigieux viennent s'ajouter Tom Petty et ses Heartbreakers ("Taxman" "I need you" et "Handle with care" des Travelling Wilburys), Joe Brown ("Here comes the sun" et "That's the way it goes").

Le groupe a déjà joué des titres fantastiques de George (I want to tell you, Give me love, Old brown shoe, If I needed someone, Beware of darkness...) et l'émotion est bien présente. Elle va cependant devenir plus forte lorsque Ringo Starr d'abord puis Paul Mc Cartney viennent aussi rendre hommage à leur vieil ami disparu. Quand Paul se saisit d'un Ukulélé et qu'il délarre avec une voix brisée par l'émotion le très beau "Something", les larmes ne peuvent s'empêcher de couler, même en vous l'écrivant et en y repensant, ma vue se brouille mes yeux se mouillent à nouveau.

Il y a à ce moment là quelque chose de magique, on est vraiment transporté, l'instant est tout simplement magique et merveilleux, on sent que George est là, parmi sa famille et ses amis. "All things must pass" "My sweet lord" "While my guitar gently wheeps" quand tant de talents sont réunis sur une même scène, on est littérallement transporté ailleurs, c'est tout simplement merveilleux.

Lorsque Joe Brown vient chanter, accompagné de son ukulélé et d'une simple basse "I'll see you in my dreams" et que le public est innondé de papillotes de couleur venant du ciel, que tous se congratulent, les larmes, chaudes, coulent à nouveau, c'est fini, déjà, on voudrait que ça continue encore et encore. Un merveilleux film, une musique formidable, des artistes extraordinaires et une émotion à fleur de peau, à voir ou revoir absolument !!!

All things must pass, c'est vrai, tu nous manques cher George, repose en paix auprès de ton "Sweet lord" et qu'il te bénisse ...

04:33 Publié dans Musique | Lien permanent | Commentaires (0)

Lilicub en concert

Jemmapes-avril-2010-1.jpgCatherine et Benoit du groupe LILICUB seront en concert dans leur salle fétiche du 116 quai de Jemmapes pour deux soirs:

-Mardi  6 avril 2010 à 20h

-Mardi 13 avril 2010 à 20h

Avant de démarrer leur tout nouveau projet, ils vous feront revisiter leur répertoire avant de le "remiser" au placard.

Leur musique est sympa, leurs textes caustiques, tendres, drôles, poétiques, tout y passe et on se régale à les écouter.

On trouve facilement les places soit à la billeterie à partir de 19h30 soit dans toutes les FNAC de france et de Navarre.

L'occasion faisant le larron, étant de passage à Paris le 13, je me ferai une joie d'y assister avec mon épouse.

N'hésitez pas !!!

Retrouvez leur univers sur le site officiel:

www.lilicub.com

03:35 Publié dans Lilicub | Lien permanent | Commentaires (0)

03/04/2010

"La route de Los Angeles" de John fante

La-route-de-Los-Angeles.jpgAprès "Demande à la poussière", "Mon chien stupide" et "Bandini", j'ai le grand plaisir de vous parler d'un quatrième roman de John Fante "La route de Los Angeles".

Il s'agit du tout premier roman de Fante, écrit en 1933 mais qui n'est sorti qu'en 1986, trois ans après sa mort. En effet, à l'époque, personne n'avait voulu l'éditer (quelle erreur).

Il n'empêche que Fante était déjà pétri de talent et que ce roman se lit avec un plaisir non dissimulé. Où l'on retrouve Arturo Bandini, tantôt sympathique, tantôt insupportable mais toujours attachant. A l'époque, le livre, c'est vrai a du choquer quelque peu les éditeurs et c'est certainement la raison de sa non publication tant il est vrai que, je cite l'auteur "Certains passages vont heurter le poil du plus teigneux des loups. Tout cela est peut être trop corsé, c'est à dire manquant de "bon" goût, mais ça ne me gêne pas".

Ce n'est pas faux, même encore aujourd'hui, presque 80 ans après, on se rend compte que Fante ne machait pas ses mots et qu'il peignait une Amérique au vitriol. Cette histoire aura donc été la première d'Arturo Bandini, futur écrivain, fier fils d'immigrés Italiens, arrogant, irritant, tendre et sympathique, bref un être humain dans toute sa splendeur avec ses qualités mais aussi ses défauts.

Cette histoire sous fond de misère sociale (le monde sort à l'époque de la crise économique de 1929) reste néanmoins pétillante et drôle.

On a tous un peu d'Arturo Bandini en nous, moi le premier, et c'est ce qui rend ce livre vraiment attachant et intéressant. Vous verrez, une fois dedans, vous ne le lacherez plus car, cerise sur le gateau, c'est aussi très très bien écrit.

Bonne lecture...

05:59 Publié dans Livre | Lien permanent | Commentaires (0)

02/04/2010

HAPPY BIRTHDAY !!!

gateau1an.jpgUn an...

Jamais le 2 avril 2009 quand je me suis lancé, non jamais je n'aurai imaginé ne serait ce que tenir quelques mois. Je ne me voyais pas écrire, écrire et encore écrire.

Et bien si, cette note est la 364 ème et je suis vraiment heureux et fier de souffler cette première bougie.

Je ne peux pas faire sans une nouvelle fois remercier celle à qui je dois cette "éclosion", celle qui a vu qu'en moi il y avait des choses et qui m'a poussé à les exprimer. Je me souviens encore de sa phrase "Allez, zou, au boulot !!"

Je crois que j'ai pas mal bossé, j'ai aussi beaucoup d'idées à venir et comme vous êtes maintenant plus de 700 à venir me lire, je me dois de continuer à tenir la barre aussi haute que possible.

Vos nombreuses visites et votre fidélité sont les plus belles récompenses qui soient.

Tant que je le pourrai, je continuerai à écrire, pour vous mais aussi pour moi.

Vous ne pouvez me voir au moment où j'écris ces mots mais je peux vous assurer que j'ai la gorge un peu serrée.

UN TRES TRES GRAND MERCI A VOUS TOUS ET ZOU, ON REPARD POUR UN AN !!!

00:06 Publié dans Blog | Lien permanent | Commentaires (1)

01/04/2010

Poisson d'avril !!!

img_90564_1-7336939ac.gifVous avez dû vous rendre compte que le lien que j'ai publié ce matin dans mon article, ne mêne à rien...

Bien entendu, même si c'est mon rêve secret et que j'ai en stock quelques compositions personnelles, il est bien entendu évident que la sortie de mon premier album n'est qu'un vaste canular, mon poisson d'avril !!!

Je vous devine plein d'humour et c'est la raison pour laquelle je me suis permis cette petite blague de gamin.

Derrière les titres de l'album et des morceaux il y a évidemment un énorme clin d'oeil humoristique, amical et affectueux à celle dont j'admire tant le talent ;-)

Dans ce monde trop triste et morose, il nous reste encore le rire et les mots, profitons en !!!

Ce qui en revanche n'est pas un poisson d'avril, c'est votre fidélité et le nombre grandissant de visiteurs sur ce blog. En effet le record est battu et pour ce mois de mars vous aurez été 707 visiteurs différents pour 2195 visites.

MERCI MILLE FOIS !!!!!!!!!!!!!

PS: J'oubliais, il n'existe pas de FNAC à Armentières, du moins elle n'est pas encore construite...

21:05 Publié dans Blog | Lien permanent | Commentaires (0)

Christophe DEFOSSEZ "Devant la fenêtre"

Devant la fenêtre 1.jpgUne fois n'est pas coutume, aujourd'hui, je fais ma propre promotion, n'est on pas aussi bien servi que par soi même ?

J'ai donc le grand plaisir de vous annoncer la sortie officielle de mon premier album "Devant la fenêtre", vous y découvrirez les douze titres originaux suivants:

-De très grandes choses

-J'adore...je hais

-Ah ! chaque matin

-Mes cheveux longs

-Celui qui réapparait

-Je repars

-A la porte

-L'ascenceur

-Un cheval sur le sentier

-Rien ne nous rapproche

-Je dis toujours la vérité

-Ce mec est fait pour toi

-La petite valise

Le CD est disponible chez tous les bons disquaires et je me ferais un plaisir de vous le dédicacer à la FNAC d'Armentières le samedi 3 avril de 11h à 13h00.

Vous pourrez trouver tous les détails sur cet album sur mon site officiel:

www.christophedefossezsonpremieralbumdevantlafenetre.com

 

 Devant la fenêtre.jpg

04:45 Publié dans Musique | Lien permanent | Commentaires (1)

31/03/2010

Bête de somme...

esclave.jpg

Le monde du travail est devenu impitoyable et cruel,

La considération de l’être humain, si tant est qu’elle ait existée un jour, a quasiment disparue.

Aujourd’hui, un seul mot d’ordre, la rentabilité, à n’importe quel prix.

Quel meilleur terrain qu’une crise économique pour affuter ses armes et aiguiser ses crocs.

Aujourd’hui nous ne sommes plus que des pions, rentables aujourd’hui, jetables demain,

Car elle est là la réalité, nous sommes presque assimilés à du bétail, bon pour tirer la charrue jusqu’à ce que nos forces nous abandonnent, et là…

Mon Dieu comme ils doivent se retourner dans leurs tombes nos aïeux, ceux qui se sont battus parfois au péril de leur vie pour défendre leur droits, nos droits.

Finie la solidarité, si on peut écraser la tête de son voisin pour s’en sortir, on n’hésite pas à le faire.

Je ne condamne pas les gens qui ont cette attitude, j’accuse ceux qui font en sorte qu’ils deviennent ce qu’ils sont.

Se battre, se débattre, s’extirper de cette fange dans laquelle on s’enfonce petit à petit,

Rester humain, à tout prix, voilà la vérité, voilà notre raison de vivre, le reste n’est que foutaises.

On me taxera de révolutionnaire, de nihiliste, d’anarchiste, de gauchiste, peu m’importe, au fond de moi je ne sais qu’une chose, c’est que je suis un humaniste et que j’en suis fier.

A vrai dire il y a aussi autre chose, une chose sure c’est que jamais, oh non, jamais, je ne serai une bête de somme.

 

30/03/2010

Démons nocturnes...

peur_du_noir.jpg

Ils se glissent sournoisement, subrepticement, vicieusement sans que l’on s’en rende compte.

Ils s’insinuent en nous, s’immiscent jusqu’aux tréfonds de notre subconscient.

Ca commence par des rêves agités, des cauchemars.

On revit des scènes du quotidien de façon pénible, les soucis que l’on a rencontrés sont grossis à la puissance dix, pire encore ils prennent une ampleur telle que l’ont est, dans notre sommeil, pris de panique et de peur parfois.

Alors d’un coup on se réveille, tremblants, hébétés, le cœur battant la chamade. Il nous faut quelques secondes, quelques minutes parfois pour réaliser, pour revenir dans le monde réel.

Seulement voila, c’est aussi  tellement perfide qu’au milieu de la nuit, seuls, alors qu’autour de nous, le silence est lourd, nos pensées s’agitent, nos esprits cogitent et dans le noir qui nous enveloppe, elles prennent souvent une telle ampleur que l’on tourne et retourne sans retrouver le sommeil.

Les démons nocturnes…

Il n’existe qu’une seule solution, s’occuper l’esprit, d’aucun vont se caler dans un fauteuil pour regarder le petit écran, d’autres vont griller une cigarette, moi je lis pour décompresser ou j’écris pour évacuer.

Les démons nocturnes…

Ils sont le fruit, le résultat de cette vie moderne. Sans cesse agités, sans cesse stressés, nous ressemblons à des robots toujours tellement en mouvement que le repos est dur à trouver et que lorsque enfin, on réussi à le trouver, il est secoué par nos angoisses.

Les démons nocturnes…

C’est difficile de s’en débarrasser, à certaines périodes  de notre vie, ils sont encore plus présents, plus oppressants, plus pesants que d’autres.

Les démons nocturnes…

C’est aussi le prix à payer quand on a la chance de pouvoir réfléchir, analyser, comprendre, car tout a un prix, hélas.

Les démons nocturnes…

Bienheureux celui qui ne les connait pas.

 

 

 

29/03/2010

"En studio avec les Beatles" de Geoff EMERICK

En studio avec les Beatles.jpgJe l'ai fini samedi matin, les larmes coulaient encore sur mes joues. De tristesse car inévitablement on y parle avec émotion de ceux qui depuis ont disparu. Des larmes de plaisir également tellement j'ai passé de fabuleux moments à le lire.

Inutile de vous dire que cet excellent ouvrage m'a été recommandé par une personne pour qui j'ai estime et affection et qu'une nouvelle fois son conseil s'est révélé plus que judicieux.

Geoff Emerick est le jeune garçon qui, très tôt, de "Revolver" à "Abbey road" a été l'ingénieur du son du groupe le plus célèbre au monde. Cela veut aussi dire que sans lui, les albums des Beatles n'auraient pas eu cette sonorité qui leur est propre, en particulier sur le célebrissime "Pepper" (Sergeant Pepper's lonely hearts club band".

Ce livre apporte un tout nouveau témoignage aux nombreux existant sur les Beatles et leur courte mais fabuleuse carrière. On se retrouve au coeur même de la musique et en particulier, comme le dit si bien le titre de l'ouvrage, en studio avec les Beatles. Pour les accros comme moi, c'est un pur moment de bonheur, on a l'impression d'être dans ce studio, chez EMI à Abbey Road, avec eux et d'assister à la genèse des chansons qui ont fait leur gloire et leur réputation.

C'est vrai, Geoff Emerick n'a pas la langue de bois et parfois, souvent même, il écorne la légende car il est de ceux qui a vu les quatre garçons dans l'intimité du studio. Il a assisté à la lente mais inévitable dégradation de leurs rapports, il a vu des jeunes blanc becs pétris de talents devenir plus matures et s'affirmer chacun dans son style de musique propre.

Il confirme le côté "meneur" de Paul, patron musical du groupe, ultra perfectionniste, le caractère imprévisible de John, la jeunesse et le manque de confiance en lui de George, la placidité de Ringo. Il n'épargne personne et n'hésite pas à raconter que George a eu des débuts laborieux dans la qualité de son travail et en particulier dans ses solos de guitare, même s'il reconnaît qu'une fois libéré de l'emprise des deux monstres Paul et John il s'affirmera et deviendra le grand guitariste qu'il fut jusqu'à sa mort. Ringo n'est pas forcément le type jovial et rigolo, image qui a toujours été la sienne dans les médias.

Cela dit, ces mecs étaient des hommes avec des qualités énormes, certes, mais aussi bien des défauts, ce qui les rend plus humains. D'autre part en matière d'enregistrement, on peut se rendre compte également de l'ingéniososité frisant le génie, du courage et de la patience qu'il a fallu à cette époque pour obtenir une qualité de son aussi parfaite. Rappelons qu'à l'époque, les techniques étaient loin d'être aussi évoluées que de nos jours.

Bref, ce livre est un vrai régal pour les fans, une mine de renseignements pour les passionnés et une petite tranche de l'histoire de la musique et de ce grand groupe que furent les Beatles. Je suis encore sous le charme et je tiens à tirer mon chapeau à Geoff Emerick pour son témoignage extraordinaire et pour le cadeau qu'il nous fait, à savoir revisiter l'oeuvre des fab four avec une nouvelle oreille.

 

05:00 Publié dans Livre | Lien permanent | Commentaires (1)

28/03/2010

Table d'écoute: Spécial Tom WAITS

waitio_32785t.jpgLe monde de la musique est tellement vaste que l'on fait sans cesse des nouvelles découvertes. On a tous nos artistes préférés que l'on adore par dessus tout mais on avance dans cette jungle touffue pour y découvir à chaque pas, une chose nouvelle.

Parfois on aime, on garde, sans plus. Parfois on déteste et on jette. Il arrive certains moments ou l'on découvre une pépite et que là, le coup de foudre est immédiat. Ce fut le cas il y a quelques jours quand j'ai pris presque par hasard l'album "Rain dogs" de Tom Waits. Je dis "presque" parce que j'en avais déjà entendu parler et qu'il a participé à un album hommage avec Roy orbison que j'ai dans ma discothèque.

Quel choc, d'abord surpris par cette voix rocailleuse, on croirait entendre un vieux bluesman de Harlem à la voix cassée par le tabac et l'alcool, ensuite emballé par la musique et le son. Oui, j'ai vraiment adoré et j'ai écouté l'album deux jours de suite quasiment non stop.

Du coup mardi soir, je suis retourné à la médiathèque pour "raffler" tout ce qu'il y avait comme albums de Tom Waits. A aujourd'hui je n'en ai écouté qu'un, tellement il m'a lui aussi transporté, il s'agit de "Blue Valentine". Quel album splendide, on y entend des sonorités blues, jazz sur des mélodies extraordinaires, nom de Zeus que c'est génial !!!

Comment ai-je fait pour passer à côté de ce type génial toutes ces années, je me le demande encore, comment n'ai-je pas écouté la musique de cet auteur/compositeur/interprète à la voix et à la "gueule" si particulière. On croirait presque qu'il est le fils de Ron Perlman ou de Keith Richards, sauf qu'il a aujourd'hui 60 ans. Cet américain né à Pomona le 7 décembre 1949 est également multi-instrumentaliste et acteur, bref un touche à tout mais un touche à tout de génie.

A partir de lundi, j'écouterai les autres albums dont "Swordfishtrombones" que j'ai déjà passé un peu, ainsi que "Blood money" et le triple album "Orphans" naturellement je vous en parlerai la semaine prochaine.

En attendant si vous le connaissez tant mieux, si ce n'est pas le cas, essayez ça vaut vraiment le détour. D'un coup, ce mec vient de rentrer dans le panthéon de mes artistes préférés, c'est vous dire...