26/10/2009
Franck Marco "Des baguettes et des pinceaux"
Bonjour chers amis,
Mon rapprochement avec l'univers de Jil Caplan, m'a apporté plein de choses, le renouveau avec l'écriture via ce blog, des nouvelles découvertes littéraires, ma nomination au comité Musique et Arts Vivants, ma présence à ce fabuleux concert du 5 octobre et la rencontre avec celle que j'admire.
A propos de ce concert, j'avais noté la performance de celui qui tenait les baguettes avec beaucoup de talent, un certain Franck Marco. Curieux d'en savoir un peu plus sur lui, je l'ai contacté via "Facebook" pour y découvrir un garçon bien sympathique qui en plus est originaire comme moi (je le cite) de Chti'land. Il est originaire du Maubeugeois et moi du Cambrésis.
Ce que j'ai découvert en plus, c'est que non content de manier habilement les baguettes, notre homme est également très habile de ses mains mais dans une toute autre discipline, la peinture.
Je vous avoue humblement que je ne suis pas un spécialiste en la matière mais lorsque je suis allé voir sur son site ses différentes toiles, j'ai su reconnaître son talent et la beauté de ses tableaux et celà dit sans basses flatteries.
Alors si celà vous branche, n'hésitez pas à aller admirer ses oeuvres. En plus vous le trouverez dans la même communauté que "J'aime...je déteste". Je vous en donne le lien ci dessous.
Celui qui croit que les batteurs sont des brutes est un idiot. Celà nécessite une certaine force, certes , un sens inné du rythme, bien sûr, mais surtout il faut beaucoup de finesse et de doigté, exactement comme pour la peinture...
05:48 Publié dans Musique | Lien permanent | Commentaires (1)
25/10/2009
"Parlez moi d'amour" de Raymond Carver
Toisième livre consécutif de Raymond CARVER que je dévore littéralement. C'et vraiment un plaisir à lire et j'avoue qu'il n'est pas facile d'exprimer ce que l'on resssent à la lecture des nouvelles de cet auteur. Je citerais donc si elle me le permet, l'amie qui m'a conseillé de lire ces livres dont elle disait qu'ils sont "Sublimes de simplicité et de dépouillement mais intenses et profonds". Cette phrase résume parfaitement l'atmosphère de l'univers de Carver.
Dans "Parlez moi d'amour", pas d'histoires à l'eau de rose comme l'ont pensé celles et ceux qui me voyaient lire ce livre, non, les dix sept nouvelles qui composent ce livre ont sensiblement le même point commun, la même idée fixe, la poursuite d'un possible bonheur pour ces gens à la dérive.
Je ne vous raconterais pas toutes les nouvelles car elles ont chacune leur spécificité et leur originalité. Comme je l'ai écrit précédemment on pourrait presque toucher du doigt ces histoires tellement elles sont d'une dure et crue réalité. Malgré tout, j'ai trouvé ces histoires plus froides et plus sombres pour certaines que dans les deux précédents recueils lus ("Les vitamines du bonheur" et "Les trois roses jaunes") mais je m'en suis délecté avec un plaisir ineffable comme je vous l'ai exprimé au début de cette note.
Néanmoins, si vraiment vous aimez les mots, la belle écriture, la simplicité et les choses vraies voire crues (toutes crues) n'hésitez pas une minute ni même une seconde pour vous plongez dans le monde de Raymond CARVER.
05:31 Publié dans Livre | Lien permanent | Commentaires (1)
24/10/2009
Table d'écoute spécial: Jil Caplan "La charmeuse de serpents"
Voilà un album mythique et incontournable dans la carrière de la chanteuse. C'est son deuxième, celui qui va la consacrer en tant qu'artiste, nous sommes en 1990 et à 25 ans, Jil Caplan atteint le sommet des charts. Son talent est reconnu et en 1992 aux Victoires de la musique, elle reçoit, en larmes, le prix du meilleur espoir féminin.
C'est à partir de cette époque que le grand public ne l'a plus entendue et aujourd'hui, alors que je parle d'elle partout où je peux, les gens ne se souviennent que des titres de ses deux premiers albums. Vous comprenez pourquoi maintenant je consacre mon temps et mon énergie à vous écrire toutes ces notes sur elle. D'abord parce que c'est une chanteuse et écrivain de grand talent,ensuite parce qu'elle a continué une brllante carrière loin des sunlights mais avec chaque fois plus de maturité et des expériences musicales variées suivant les albums.
Je ne vais pas revenir sur le concert du 5 octobre, mais l'ami qui m'accompagnait me confiait avoir été fortement impressionné et surpris de la qualité de la voix de Jil Caplan.
Pour revenir à "La charmeuse de serpents", signalons d'abord qu'il comprend 15 titres pour presque une heure de très bonne musique (oui, c'est vrai que je suis fan et que j'ai forcément un parti pris mais écoutez le et vous jugerez par vous même).
Ca démarre par le très joli "Les mots" qui fera partie des 27 titres de l'album "Urgence, 27 artistes contre le sida" en 1992. C'est suivi du très entraînant et connu "Tout ce qui nous sépare" qui sera un de ses titres phares avec le célèbre "Natalie Wood" qui vient en quatrième position dans le disque et qui amènera la chanteuse au sommet du hit-parade comme on disait encore à l'époque. Tout y est dans cette chanson, même la musique très dans "l'air du temps" en ce début des années 90. Il en va de même pour le très dansant "As tu déjà oublié".
On trouve ensuite le très beau "Souffrir" que co-signe Jil Caplan avec Jay Alanski. C'est avec Jay également qu'ils chantent en duo "Je t'apprends rien". Deux autres titres sont écrits par Jil et Jay, "Ni Dieu, ni maître" et "Ta voix". La jolie chanteuse prouve qu'elle ne fait pas que bien chanter et qu'elle a un incontestable talent pour écrire de très beaux textes. C'est le début mais le meilleur est à venir dans les années qui vont suivre. Les fans apprécieront la magnifique voix de cette vraie chanteuse dans "Simple mélange" et le sympathique "Un bonheur sans nuage" dans lequel on ne peut ignorer que Jil Caplan est parisienne,tant l'accent titi y est. Un clin d'oeil cinématographique avec "La rivière sans retour" chanson dans laquelle vous entendrez le beau rire de l'artiste.
Je voudrais finir par les quatre titre que je préfère "La lumière du vide" , "La charmeuse de serpents" que j'ai eu le privilège d'écouter sur scène avec en accompagnement un jeune et talentueux violoncelliste. J'adore aussi tout particulièrement "L'hôtel des quatre malheurs" magnifique texte d'Alanski, merveilleusement interprété et pour terminer "Entre les tombes" texte noir et sombre mais superbe chanson.
En clair, pour un deuxième album, c'est une totale réussite et c'est le plus connu de Jil Caplan du grand public. je me devais de vous en parler car il est marquant dans la carrière de l'artiste mais il n'écrit en aucun cas le mot fin de sa carrière contrairement à ce que beaucoup ont cru...au contraire...
A suivre...
05:00 Publié dans Jil Caplan | Lien permanent | Commentaires (0)
23/10/2009
Crossroads 2007
J'avais ce DVD depuis un bout de temps et jamais je n'avais pris le temps de le déguster en entier, car il s'agit bien de celà, car c'est un plateau de choix qui nous est présenté dans ce film qui nous offre le meilleur d'un énorme concert organisé par Eric Clapton le 28 juillet 2007 à Chicago.
Comme j'ai décidé de me remettre un peu au sport et que la seule discipline qui me convient c'est le vélo d'appartement (on peut en profiter pour écouter de la musique ou se visionner un film) je me suis donc passé ce fabuleux concert.
Avant tout, parlons de l'initiative de ce concert car le but final est le financement d'un centre de désintoxication pour personnes droguées. Eric Clapton, miraculé de la cocaïne, n'hésite pas à s'investir personnellement dans cette aventure et à appeler ses amis musiciens pour l'aider dans cette entreprise.
Je vais donc vous donner un aperçu du plateau royal qui nous est proposé. D'abord le Mr Loyal de la journée, le truculent Bill Murray, comédien mais aussi grand fan de blues, qui nous présente les différents participants avec l'humour qu'on lui connait. Voici donc ce qui vous attend dans ce superbe double DVD:
-Sonny Landreth seul puis avec Eric Clapton
-John Mc Laughlin et ses fantastiques musiciens, pur délice.
-Doyle Bramhall II et son groupe à deux batteries
-Le Derek Trucks Band roi du slide avec Susan Tedeschi
-Johny Winter et ce même Derek Trucks Blues Band
-Robert Cray avec son groupe puis avec Jimmie Vaughan auxquels vient se joindre Hubert Sumlin puis pour couronner le tout, MR BB King himself, un plateau plus que royal sous les yeux admiratifs de Clapton et des autres intervenants.
-Le talentueux Vince Gill est rejoint par Albert Lee puis Shery Crow. Voyant cette belle équipe, Clapton revient sur scène pour jouer son célèbre "Tulsa time" avec eux.
-C'est le tour du "vieux" Willy Nelson et sa guitare acoustique pour clôturer le premier DVD.
Dans la seconde partie, les afficionados et fans de "Slowhand" seront ravis. Mr Clapton vient nous régaler pratiquement sur tous les titres qui suivent:
-Mais d'abord, place au jeune prodige John Mayer sur deux titres "Belief" et "Gravity"
-Arrive ensuite l'immense Mr Jeff Beck avec son célèbre "Cause we've ended as lovers" suivi de "Big block". Il est accompagné de Vinnie Colaiuta magnifique batteur et de la fantastique Tal Wilkenfeld à la basse (voir le dernier "Table d'écoute")...un grand, un très grand moment.
-Ca y est, Mr Clapton arrive et attaque avec son super groupe (Derek Trucks et John Bramhall II sont avec lui) le célèbre "Tell the truth". Ensuite il dédie le morceau suivant à quelqu'un qui lui manque beaucoup et commence à jouer "Isn'it a pity" (yeux qui piquent assurés pour les fans de George). Il enchaine avec "Little queen of spades" avant d'être rejoint par Robbie Robertson (ex The Band) pour "Who do you love".
C'est au tour de Stevie Winwood avec qui Clapton avait fondé l'éphémère groupe BLIND FAITH qui vient pour jouer "Presence of the Lord" et "Had to cry today". Steve quitte ensuite ses claviers pour prendre la guitare et interpréter "Dear Mr Fantasy" en nous prouvant qu'il est aussi un excellent guitariste. Eric le rejoint à nouveau pour jouer ensemble le célebrissime titre de Robert Johnson "Crossroads".
Petite pause (si l'on veut)avec le très grand bluesman Buddy Guy sur "Mary had a little lamb" et Damn right I've got the blues" puis Eric Clapton, Robert Cray, John Mayer, Hubert Sumlin, Jimmie Vaughan et Johnny Winter se joignent à lui pour le grand final et "Sweet home Chicago", un groupe de rêve...
Sans conteste, un double DVD de qualité, qui ravira les fans de blues et de guitar heroes. On en prend plein les yeux et les oreilles. Que du bonheur, un grand concert, de très grands artistes à la hauteur de la discrétion, la générosité et l'immense talent de Monsieur ERIC CLAPTON.
PS: Juste un petit truc à rajouter: "Quand tu voies et écoutes toutes ces pointures et que tes yeux se posent ensuite sur ta guitare, tu pousses un vieux soupir et tu la regardes presque avec un air écoeuré"
06:31 Publié dans Musique | Lien permanent | Commentaires (0)
HAPPY BIRTHDAY TO YOU !!!
Aujourd'hui, je voudrais souhaiter un très bel et bon anniversaire à une personne que j'aime beaucoup.
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POST SCRIPTUM: UNDER THE BIRTHDAY CAKE,LE LIEN D'UN CALENDRIER QUI PERMET DE VOIR A CHAQUE DATE, DES EVENEMENTS QUI SE SONT PRODUITS LE JOUR CHOISI.
01:30 Publié dans Message personnel | Lien permanent | Commentaires (0)
22/10/2009
Shadows in the morning
Chaque matin, alors que le soleil n'est pas encore levé,
Je suis le flot des véhicules au milieu de tous ces gens qui partent,
Pour la plupart, comme moi, ils se dirigent vers leur lieu de travail.
Combien sont ils dans ce cas ? c'est impossible à quantifier,
Ils sont si nombreux à prendre leur voiture chaque matin.
Depuis toutes ces années, combien en ai-je croisé, doublé, suivi ?
Sans doute il y en a parmi eux que j'ai déjà vu plusieurs fois.
Comment le savoir, je ne les vois quasiment que de dos,
Je distingue juste une silhouette sombre assise au volant,
En certains endroits, avec l'éclairage public ou celui des voitures,
Je devine parfois s'il s'agit d'une femme ou d'un homme.
D'autres fois encore, grâce au rougeoiement du bout d'une cigarette,
Je distingue subrepticement un visage, l'espace de quelques secondes.
Qui êtes vous ombres du matin, d'où venez vous, où allez vous ?
Comment sont vos vies ? sont elles tristes , heureuses, riches ou banales ?
Quelles sont vos pensées alors que vous avancez dans ce flot incessant ?
Parmi vous, il y a des gentils, des méchants, des gens biens ou des cons,
Des patrons, des ouvriers, des sans un sou ou des bourgeois nantis,
Il y a des beaux, des laids, des vicieux des tordus, des brutes, des violents,
Certainement aussi des boulimiques, des anémiques, des biens portants des malades.
Sûrement parmi vous, il y en a avec qui j'aurai pu avoir des affinités, des goûts communs,
Je ne le saurai jamais, la vie est ainsi faite dans cette fourmilière où nous vivons.
La seule chose qui nous rapproche, la seule chose qui nous est commune est la même,
Nous sommes tous des ombres, des ombres sans visages en ces matins sans soleil.
05:25 Publié dans Pensées et réflexions | Lien permanent | Commentaires (0)
21/10/2009
"The Rutles" un groupe de légende
Si vous êtes fans des BEATLES alors vous devez connaitre THE RUTLES et si ce n'est pas le cas, il vous faut absolument les découvrir.
Ce groupe de légende né de l'imagination de Neil INNES et Eric IDLE est composé de quatre membres, Ron Nasty, Dirk Mc Quicly, Barry Worm et Stig O'Hara.
Ces quatres garçons, issus de Liverpool et découverts par un certain Leggy Mountbatten voient leur carrière exploser grâce à des titres comme "Get up and go" "Cheese and onions" "Ouch" "Hold my hand" "Piggy in the middle" et bien d'autres titres qui seront tous des succès dans les charts britanniques.
Pour découvrir leur histoire, je vous conseille vivement le film "All you need is cash" dans lequel vous retrouverez les quatre musiciens mais également tous les intervenants dans leur carrière. Des musiciens célèbres comme Mick Jagger ou Paul Simon y apportent également leur témoignage.
Comme vous vous en doutez, il s'agit d'un superbe pastiche réalisé par deux anciens de la délirante équipe du Monty Python Flying Circus. Cependant, ne vous y trompez pas, même si les titres des chansons et certaines mélodies vous rappelleront quelque chose, il s'agit quand même de compositions originales qui valent le détour.
D'ailleurs deux albums sont parus à ce jour, "The RUTLES" en 1978 qui reprend tous leurs titres originaux et "Archaeology" en 1996 dans lequel on trouve des versons inédites et des perles rares du groupe.
Soyez en convaincus, ces quatre musiciens ont eux aussi marqué l'histoire ...à leur manière.
06:01 Publié dans Musique | Lien permanent | Commentaires (0)
20/10/2009
Elliot SMITH "Either/or"
Comme je vous l'ai promis (je vous doit bien ça), chaque article que j'écrirai pour le comité Musique et Arts Vivants sera d'abord publié sur "J'aime...je déteste". Ainsi, voici la petite chronique que j'ai écrite sur l'album que j'avais choisi d'écouter d'un artiste qui pour moi était jusqu'à ce jour un parfait inconnu: Elliott SMITH.
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Né en 1969, Elliott SMITH, de son vrain nom Steven Paul Smith est dramatiquement décédé le 21 octobre 2003 dans des circonstances plus que troublantes.
Il était un auteur, compositeur et interprète originaire des USA et avait entamé une carrière solo en 1994, après avoir joué avec le groupe HEATHMISTER.
"Either/or" dont le titre est issu d'un livre de Soren KIERKKEGAARD est son troisième album solo, sorti en 1997.
Dans cet album, Elliott SMITH ne se contente pas de sa seule guitare acoustique et enrichit ses morceaux avec de la basse, de la batterie et de la guitare électrique, instruments dont il joue lui même tout au long du disque. Autant dire que c'est un artiste très complet.
La première sensation que l'on ressent dès les premières notes de l'album, c'est cette douceur dans la mélodie, un style qui rappelle un peu celui de Nick DRAKE mais en plus enrichi, musicalement parlant. Il faut savoir que très jeune, Elliott SMITH a été passionné par les BEATLES et que celà se ressent fortement dans sa musique, pour notre plus grand plaisir.
Cet album est particulièrement agréable à écouter, inutile de s'attarder à décortiquer chacun des morceaux pour en faire une analyse précise. Chacun jugera par lui même. S'il y a cependant deux titres que je devais choisir pour faire un CD single, je choisirais incontestablement le très accrocheur "Pictures of me" comme titre phare et "Ballad of big nothing" comme second morceau.
A l'écoute de ce très bel album, on se prend à regretter qu'Elliott SMITH ait disparu si tôt en rejoignant le firmament des étoiles filantes du Rock. Nul doute qu'il nous aurait gratifié d'autres belles chansons...le destin en a choisi autrement.
06:11 Publié dans Musique | Lien permanent | Commentaires (1)
19/10/2009
Gilles Verlant: "FOLLLIES"
Ce sympathique garçon, tout souriant et passionné, c'est Gilles VERLANT que là plupart d'entre vous connaissent puisqu'il officie sur France Bleu et qu'il a également travaillé pour Canal +.
La partie de sa carrière dont je veux vous parler et pour laquelle je souhaite lui rendre hommage c'est celle ou ce garçon originaire de notre voisine Belgique, a travaillé à la RTBF et notamment dans une émission TV qui passait le samedi soir et qui avait pour titre "Folllies" (oui, oui, avec trois "L" n'est ce pas Gilles ?)
Dans notre campagne du Cambrésis, grâce à une antenne hertzienne plus importante, nous réussissions à capter les chaines belges. Mon père y tenait car chaque samedi soir, la RTBF diffusait un western ou un polar des années 50/60.
Mon frère et moi venions d'avoir respectivement 14 et 15 ans lorsque nous avons découvert cette émission qu'animait avec énergie et passion notre ami Gilles. En effet "Folllies" était une vrai émission pour les amateurs de Pop/Rock et là, j'ouvre une parenthèse pour tirer un coup de chapeau à nos amis belges chez qui cette musique est très à l'honneur que ce soit à la TV, à la radio ou dans les concerts.
Pour revenir à "Folllies", c'était devenu pour Fred et moi, le rendez-vous incontournable du samedi soir. Je me souviens y avoir découvert Dire-Straits alors tout jeune groupe interprétant "Sultans of swing", Peter GABRIEL dans son clip "Games without frontiers" Kevin Godley et Lol Creme (ex TEN CC) dans leur clip "An englishman in New-York". Dans cette émission, on a découvert bien avant la folie Madness, des groupes comme The Spécials ou The Selecter à l'époque du renouveau du Ska. Bref, je pourrais vous citer des tonnes d'autres artistes que nous avons découvert dans cette émisssion. En France quelque temps plus tard, il y aura l'excellent Antoine De Caunes pour qu'on voit enfin du rock à la télé.
Le terrain était il est vrai propice, mon frère et moi, même si chacun a pris des orientations différentes étions, sommes et resterons des passionnés, des dingues de musique jusqu'à notre dernier souffle. Mais un super mec comme Gilles Verlant nous a aidé à rendre cette passion plus acharnée. Cette passion inextinguible, il l'a lui aussi et ce gars là, pour moi est un vrai, un pur.
Alors tout simplement, cher Gilles, je tenais à te rendre ce petit hommage simple mais sincère et pour terminer mon propos, je ne dirais que ces quelques mots:
"Long live rock !!!"
Christophe.
06:07 Publié dans Souvenirs | Lien permanent | Commentaires (0)
"BLUEBIRD" de Paul Mac Cartney
Les paroles d'une des plus belles chansons de Macca à l'attention de "My little bluebird" qui se reconnaitra:
Late at night, when the wind is still,
I'll come flying to your door
Ad you know what love is for
I'm a bluebird, I'm a bluebird,
I'm a bluebird, I'm a bluebird
Touch your lips with a magic kiss,
And you'll be a bluebird too
And you'll know what love can do
I'm a bluebird, I'm a bluebird, I'm a bluebird, I'm a bluebird
Fly away through the midnight air,
As we head across the sea,
And a last we will be free,
You're a bluebird, you're a bluebird, you're a bluebird, you're a bluebird
All alone on a desert island,
We're living in the trees,
And we're flying in the breeze,
We're the bluebirds, we're the bluebirds, we're the bluebirds, we're the bluebirds...
03:32 Publié dans Message personnel | Lien permanent | Commentaires (0)