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15/01/2010

"Les insurgés" un film d'Edward ZWICK

les insurgés.jpgLe nom d'Edward ZWICK, n'est pas forcément très connu. On doit pourtant à ce réalisateur de 57 ans des films comme "Glory" avec denzel Washington, "Le dernier samouraï" avec Tom cruise ou l'excellent "Blood diamond" avec Léonardo Di Caprio et la très belle Jennifer Connely.

Sa dernière production, sortie en 2009, ne déçoit pas. On y retrouve des comédiens très connus. Le dernier James Bond en titre aux yeux bleu acier, Daniel Craig. A ses côtés l'impressionnant Liev Schreiber (Hurricane Carter ou Wolverine).

le film "Les insurgés" nous raconte une remarquable aventure humaine, celle des quatre frères Bielski dont les parents ont été massacrés par les nazis. Traqués, ils se réfugient dans la forêt à l'ouest de la Biélorussie (Polonaise à cette époque) pour tenter de rejoindre les partisans soviétiques.

Ils vont être petit à petit rejoint par d'autres membres de la communauté juive qui, comme eux, cherchent à fuir leurs bourreaux en se cachant. Tuvia (Daniel Craig) va se réveler un meneur d'hommes et un véritable chef qui va protéger comme il peut cette communauté de réfugiés cachée au milieu des bois. Son frère Zus (Liev Schreiber) ira rejoindre les partisans russes pour se battre contre les nazis.

Il s'agit d'une histoire vraie qui méritait d'être portée à l'écran tant le courage et la volonté de ces garçons a permis de sauver des dizaines de vies humaines. L'histoire les avait oubliés et ce film leur rend plus de 60 ans après un hommage mérité.

04:59 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (0)

14/01/2010

"La mort aux trousses" d'Alfred Hitchcock

La mort aux trousses.jpgQui ne connaît pas cette scène mythique où le héros du film est poursuivi et attaqué par un avion ?

"La mort aux trousses" est un des nombreux films de celui qui fut et qui reste dans l'histoire du cinéma comme le roi du suspense. Je pense qu'à l'occasion, je préparerai une note spéciale sur l'homme et sa carrière tant sa place est importante dans le monde du 7éme art.

Ce film m'a fasciné quand je l'ai vu pour la première fois, je devais avoir une quinzaine d'année et à cette époque, les chaines publiques de TV diffusaient encore des "vieux" films.

L'intrigue est excellente dans ce film où d'étranges personnages confondent Roger Thornill avec un homme mystérieux portant le nom de Georges Caplan. Tout au long du film on l'appelle par le nom de ce personnage mystérieux, ce nom m'a alors marqué et est resté ancré dans ma mémoire (j'ignorais alors à l'époque l'importance qu'il prendrait pour moi).

Deux mots sur la distribution et honneur aux dames avec la très belle et mytérieuse Eva Marie Saint découverte dans "Sur les quais" d'Elia Kazan, au charme irrésistible. James Mason disparu en 1984 mais qui reste pour les gens de ma génération comme le visage du capitaine Nemo. Il est aussi l'inoubliable professeur Humbert Humbert dans le "Lolita" de Stanley Kubrick. On y découvre également Martin Landau qui fera plus tard une grande carrière dans les séries télévisées "Mission impossible" et "Cosmos 1999". Et pour finir, le héros incarné par une des figures mythiques d'Hollywood, le très raffiné Cary Grant. Comédien d'origine britannique et naturalisé américain, Cary Grant était l'acteur préféré d'Alfred Hitchcock, ce qui de sa part, relevait du plus beau des compliments. Il tournera avec des actrices mythiques comme Katharyne Hepburn, Marylin Monroe, Ingrid Bergmann, Audrey Hepburn ou Grace Kelly.

Un seul "hic" dans la version française, le doublage de la voix de Cary Grant par Michel Roux donne au personnage un ton trop comique un peu décalé avec le "look" du personnage. Celà dit sans aucune critique à l'égard de Michel Roux qui fut un des plus grands comédiens et metteurs en scène de théatre dans notre pays et qui fit des doublages extraordinaires comme celui de Tony curtis dans "Amicalement vôtre". 

Il n'en reste pas moins que "La mort aux trousses" est devenu un des grands classiques du cinéma que l'on prend toujours plaisir à revoir malgré les années.

04:47 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (0)

13/01/2010

"Paris 1919" de John Cale

John Cale Paris 1919.jpg"Paris 1919" est un des deux albums que j'ai présenté lors de la dernière réunion du comité Musique et Arts Vivants de la médiathèque d'Armentières.

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John Cale né au pays de Galle en 1942 est un musicien multi instrumentaliste et auteur compositeur de grand talent. Il est le co-fondateur du groupe Velvet Underground.

Moins connu que son comparse Lou Reed, il n'en reste pas moins qu'il était "l'éminence grise" du groupe, apportant à la formation favorite d'Andy Warhol, des sonorités différentes qui ne seront pas toujours du goût du leader du Velvet. Il quittera le groupe en 1968 pour démarrer une carrière solo.

"Paris 1919" sorti en 1973 est le troisièm album de ce qui est encore aujourd'hui une carrière riche et productive.

Lorsque l'on écoute cet album, il faut juste s'imaginer que John Cale n'a que 21 ans. Dans ce disque, on perçoit indubitablement la "patte" d'un grand professionnel et surtout d'un musicien hors pair. Il en a écrit les neufs morceaux, a probablement joué de la plupart des instruments (aucun autre musicien n'est cité) et fait lui même tous les arrangements.

S'il fallait retenir quelqueq titres phares, je citerais "Hanky Panky nohow" que John reprend sur scène encore aujourd'hui. J'aime beaucoup égalment le très beau "Paris 1919" ou "Half past France". Quoi qu'il en soit, c'est un très très bel album qui s'écoute en boucle sans aucune lassitude (plusieurs fois je l'ai écouté 2 ou 3 fois d'affilée).

Le talent de John Cale est évident. Total respect !!!

05:02 Publié dans Musique | Lien permanent | Commentaires (0)

12/01/2010

Communiqué

angry.jpgBonjour,

Certains habitués de "J'aime...je déteste" me font des suggestions pour écrire tel ou tel article sur telle ou telle personne qu'ils aiment tout particulièrement. C'est le cas de Ced dont les signatures sont nombreuses et variées quand il dépose un commentaire sur une de mes notes. La dernière en date est Ced "l'impatient" et je rajouterai un peu "angry" comme le "Monsieur" en illustration. Il m'a demandé d'écrire sur David Bowie et m'a même préparé un florilège de ses meilleurs titres pour que je connaisse mieux cet excellent musicien.

Qu'il soit ici rassuré, c'est toujours prévu. Je rappelle juste que je fais celà en "amateur" dans le cadre de mes loisirs mais que j'ai aussi une activité professionnelle qui me prend beaucoup de temps, une vie de famille, d'autres activités comme la lecture, la musique ou le cinéma et que lorsque je décide d'écrire sur un sujet j'aime m'en imprégner pour être le plus précis possible et celà par amour du travail bien fait mais aussi par respect pour les nombreux visiteurs de ce site.

Je terminerai mon propos en disant que j'ai également d'autres sujets "sur le feu" et que je prépare six interviews de différents artistes pour les semaines à venir. Tout celà prend du temps et je prie Ced "Le compréhensif" d'être un peu indulgent et patient, je ne l'ai pas oublié :-)

Ch.

11/01/2010

Mon premier voyage à Paris !!!

Paris tour Eiffel.jpgNous sommes en 1974, j'ai 9 ans et je suis en CM2.

Comme c'est la dernière année à l'école communale, nous allons faire un voyage à Paris.

Paris...pour moi c'était un évènement, enfin j'allais voir la capitale, enfin j'allais découvrir la tour Eiffel et y grimper, le rêve.

Ca fait des semaines que l'on en parle, j'ai récolté dans une boite grise un peu d'argent pour ce voyage et ramener un souvenir. Pour moi le villageois de la campagne c'est une expédition que je prépare minutieusement. J'ai étudié des bouquins pour bien m'imprégner de tout ça et profiter un maximum de cette fantastique journée qui m'attend.

Les souvenirs sont très précis dans ma tête. La veille dans l'après-midi, je suis très énervé et avec les copines et copains on en parle. J'ai chaud, je suis un peu fébrile mais je mets celà sur le compte de l'énervement. Ce soir il faut se coucher tôt, on part de bonne heure. Une bonne nuit en essayant de rester calme et enfin... enfin !!!

Je me suis réveillé tout courbaturé, pas en forme, j'ai mal partout et je me sens très las. C'est sans doute dû à la nuit durant laquelle j'ai eu un sommeil agité, très agité peuplé de rêves énervants. Je me lève très tôt, avant tout le monde dans la maison, je fait ma toilette, les yeux fermés et titubant de fatigue.

Quand mon père se lève, il me trouve dans le fauteuil de la cuisine, assis en train d'attendre, prêt à partir. Un seul regard lui suffit pour se rendre compte de ce qui se passe, je suis malade et à mon immense désespoir, il me fait me changer, me remettre en pyjama et surtout prendre ma température. Le résultat est là...40°, fièvre carabinée.

Ma mère s'est levée à son tour et le verdict tombe, froid comme une lame: je dois rester à la maison, on va appeler le médecin. Je ne suis pas parti à Paris ce jour-là et j'en garde toujours une certaine amertume.

Plus tard, bien plus tard, j'y suis allé, j'ai même habité en banlieue , près de la capitale mais le manque ressenti ce jour là n'a jamais pu être comblé. Paris a un côté fascinant et dans mes rêves la ville revêtait une couleur spéciale que seuls mes yeux d'enfants pouvaient voir. J'ai du attendre sept années pour enfin faire mon premier voyage dans la capitale et ça ne s'est pas bien passé non plus, mais ça c'est une autre histoire.

05:12 Publié dans Souvenirs | Lien permanent | Commentaires (0)

10/01/2010

"Au pays des ombres" de Gilbert Gallerne

Au pays des ombres.jpgChaque année depuis 2007, j'ai pris l'habitude de me procurer le prix du Quai des Orfèvres qui sort en édition de poche chez Fayard . J'ai réussi à en trouver d'autres, antérieur à 2007, notamment dans notre belle médiathèque d'Armentières qui en a 3 ou 4 en rayons. 

Le prix 2010 n'a donc pas fait exception à la règle et je viens de le terminer et je peux donc vous en dire quelques mots.

Vincent Brémont un OPJ (Officier de police judiciaire) est en vacances avec sa fille à Cabourg lorsqu'un soir un homme qui lui est inconnu est abbatu devant sa maison.

Vincent est vite soupçonné par la police locale lorsque l'on découvre un papier avec son adresse dans une des poches de la victime. En plus il y a un an, son épouse Alexandra s'est suicidée avec son arme de service et il a été l'objet de suspicions de la part des "Boeufs carottes" avant d'être "blanchi".

Sentant qu'il va vite être mis en examen, aidé de son ami et voisin Michel, un ancien flic, il décide de mener sa propre enquête.

Pour se sortir du pays des ombres, Vincent surmontera t'il toutes les épreuves pour affronter la vérité en pleine lumière ?

Sans me vanter, en amateur de polar que je suis, j'avais des soupçons envers un personnage du roman et j'avais vu juste. Celà dit cette histoire est excellente et la lecture en est facile et rapide et les rebondissements sont nombreux.

Une bonne histoire de flics qui mérite son prix.

Si vous aimez les polars, je vous conseille cette collection interéssante de par sa variété tant dans les auteurs que dans les histoires.

04:58 Publié dans Livre | Lien permanent | Commentaires (0)

09/01/2010

Table d'écoute: Spécial Jil CAPLAN...souvenirs, souvenirs !!!

Valentine 1987.1988.jpgEt oui, c'est le début de l'année 2010 et ce premier "Table d'écoute" sera consacré à celle sans qui ce blog n'existerait pas.

C'est en 1987/1988 que j'ai découvert Jil Caplan dans un de ses tout premiers clips "Tous les soirs" et je me souviens être tombé immédiatement sous le charme de cette jeune, jolie et talentueuse chanteuse. Elle avait ce petit quelque chose qui fait que j'ai tout de suite craqué.

Autre chose de très net dans mon esprit, je me souviens parfaitement à l'époque m'être dit que j'aimerai bien devenir ami avec cette jeune femme, je ne savais pas pourquoi ni comment mais je sentais que le courant pouvait passer. C'est bizarre non ? Je me souviens que mes copains de l'époque se moquaient de moi à ce sujet... m'en fous !!!

Jamais je n'aurai pu imaginer à cette époque qu'un jour je rentrerai en contact avec elle, par le biais de l'informatique. A cette époque les ordinateurs étaient énormes et ne faisaient pas partie du quotidien, que dire d'Internet auquel on ne songeait même pas.

Par la suite, j'ai découvert d'autres titres qui m'ont encore emballé,"Tard dans la nuit, "Cette fille n'est pas pour toi" "Natalie Wood" et tout particulièrement  "Tout ce qui nous sépare" chanson pour laquelle j'avais un faible et dont j'adorais le clip.

La vie et son cortège d'évènements m'a fait la perdre de vue, n'imaginant même pas qu'elle poursuivait une carrière moins médiatisée qu'à ses débuts mais toujours aussi riche en qualité musicale. Il m'aura fallu attendre toutes ces années pour la redécouvrir avec un plaisir non dissimulé. J'ai eu l'occasion de vous parler de certains de ses albums l'an dernier, il me reste à vous en présenter deux autres, "Jil Caplan" son album éponyme et "Toute crue" qu'elle a fait en collaboration avec un de ses "vieux" amis, Jipé (ex Innocents). J'y travaille mais je vous les présenterai sous un angle différent que d'habitude.

J'éspère également pour cette année 2010, vous proposer une interview exclusive de la chanteuse. C'est prévu, reste à trouver le temps de pouvoir le faire. Grâce à elle j'ai pu faire la connaissance de personnes très simples, faciles d'accès  et très sympas comme les deux membres de Lilicub, Catherine et Benoit ainsi que Jipé et JeanCri (ex-innocents) et tout dernièrement Kent.

Pour conclure cet article, je dirai que Valentine (c'est son vrai prénom pour ceux qui l'ignorent) est restée une femme extra et très abordable, toujours aussi belle, c'est aussi une personne intelligente et très cultivée mais qui n'en fait pas étalage. Je suis sincèrement fier de la connaître.Tout ce qui nous sépare.jpg

05:35 Publié dans Jil Caplan | Lien permanent | Commentaires (0)

08/01/2010

"Who are you", un de mes premiers albums

Who are you.jpgIl y a une époque, assez loin derrière moi où j'effectuais la plupart de mes déplacements personnels en...vélo. Je vous parle de mes 13/14 ans et à la campagne, le seul moyen pour accéder aux bourgs plus importants du coin, c'était d'y aller en pédalant.

J'allais chez le coiffeur en vélo, chez le dentiste à vélo. On allait à la piscine également sur nos deux roues, 18 kms aller retour ,le retour était difficile mais nous étions jeunes.

C'est ainsi qu'un jour passant devant un petit magasin d'un village situé à quelques kilomètres de celui où j'habitais, je découvre en vitrine un disque des WHO. C'était un magasin de quincaillerie et de matériel Hi-Fi et je ne sais pourquoi il y avait ce disque en vitrine, ce n'était pas sa première spécialité.

Je suis donc rentré à la maison, j'ai raclé mes fonds de tiroirs pour pouvoir avoir la somme nécessaire et je suis retourné dans ce magasin pour acheter ce disque. je ne connaissais pas les WHO à l'époque et ce n'est que quelques mois plus tard que Keith Moon le batteur a malheureusement disparu.

Je l'ai écouté un nombre incalculable de fois, ce n'est pas le meilleur album produit par le groupe qui à l'époque s'essouflait un peu mais il reste un grand souvenir pour moi. Je l'ai toujours dans ma collec de vynils et je l'ai racheté en CD et chaque fois que je le réécoute, je ne peux pas m'empêcher de repenser à cette époque.

04:53 Publié dans Musique | Lien permanent | Commentaires (1)

07/01/2010

Good morning England

goog morning england.jpgGénial, époustouflant, hilarant, excitant et Rock n'roll !!!

Voilà un film frais et généreux comme je les aime, surtout lorsque ça parle de musique et en particulier de rock et que l'on a droit a une BO de rêve avec les Kinks, Les Stones, les Who, les Hollies, j'en passe et des meilleurs.

En 1966, alors qu'elle produit ce qui se fait de mieux en matière de pop/rock, les radios anglaises ne diffusent de cette musique que ... 45 mns par jour, ça parait incroyable aujourd'hui. Sur un bateau de pêche qui mouille au milieu de la mer du nord, une bande de mecs diffuse du rock 24 heures sur 24. C'est l'époque des radios pirates. Malheureusement ce n'est pas du tout du goût des autorités britanniques qui mettront tout en oeuvre pour les arrêter. Ce film raconte merveilleusement cette époque.

La distribution est parfaite et chacun des comédiens "colle" parfaitement à son rôle.

Philip Seymour Hoffman, immense acteur, véritable caméléon, campe ici un DJ américain "Le comte" échoué au beau milieu d'une bande de rosbeef comme il le dit lui même. Il nous prouve une nouvelle fois son immense talent et sa classe, bref il est génial.

Que dire de Rhys Ifans qui joue le rôle de Gavin, l'idole des anglaises un autre DJ "chaud" et allumé. D'abord en froid avec "Le comte", leur passion commune pour la musique les réunira.

A noter la performance de Kenneth Brannagh en ministre, froid, vicieux et totalement intolérant et la participation d'Emma Thompson en mère de famille irresponsable.

C'est passionnant, on rit, on pleure, on swingue, on ne voit absolument pas passer les deux heures et on regarderais ce film presque en boucle tant l'ambiance est fantastique.

 

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06/01/2010

"Uderzo se raconte"

Uderzo se raconte.jpgJ'ai hésité quelques secondes quant à la catégorie que j'allais choisir pour ce livre: livre ou BD. En définitive, même s'il ne s'agit pas ici d'une oeuvre littéraire magistrale (l'auteur lui même s'en défend), il n'en reste pas moins que c'est une autobiographie intéressante d'un des auteurs d'une des plus célèbres bande dessinée francaise, "Les aventures d'Astérix" en l'occurence.

En petits chapitres, Albert Uderzo nous raconte son enfance de fils d'émigrés Italiens, né en France en 1927. C'est son frère Bruno qui voyant le talent de son frère, le poussera vers une maison d'édition parisienne.

Tout au long de ce livre, on découvre ce que fut la simple mais douce enfance d'Albert Uderzo et plus tard sa rencontre déterminante avec son futur scnénariste et grand ami, le prolifique René Goscinny trop tôt disparu en 1977.

On y découvre aussi que derrière les phylactères, le merveilleux monde de la BD est aussi un monde de business infesté de requins et que même entre dessinateurs et/ou scénaristes, la guerre fait rage dès lors qu'il s'agit de gros sous. Quel que soit le milieu, l'être humain est bien toujours le même.

Ce livre est intéressant en particulier pour les fans de BD mais l'est aussi pour les moins initiés , il se lit avec une grande facilité car Uderzo se raconte en toute simplicité.

05:01 Publié dans Livre | Lien permanent | Commentaires (1)